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SöixaniL et-onzièiîîe année — Г^ 3 CINQ centimes le Numéro Ven redi 5 Janvier r.)î2 и i ^Ьi^]E^т Jn an 18 fr. Six mois 9 fr Tro's mois 4.50 itv&iMms лniioncfs, la l'gne 0.25 .''éclair ея, 1 aits diveró • с . , С.7? Journsil Politique, Littéraire, d'întérêt ioeai, d'Annonces Judiamires et d'Avm Divers TOUS LEb LE DIMÂNCHE EXCEPTt •niié-nmn osi renouTftiô d oitioe J l'eipiratlOU, le» 4 n « ne sont pie .laittiBce esi orénentép il l'sboanA tans ¿^rangement p'lui. Ci Lei »bonaeüaent« et les InisertJoBi doliraat ït?e psyé» d'âTsnce. aérienne Dans Vliciio de Paris, M. Gabriel Bonvalot invite la Presse à peser sur le Parlement pour que l'aviation militaire devienne vraiment notre quatrième ar- m e : I « T^es a é r o p l a n e s peuvent être autre chose qu'une disti action pour les Fran- çais qui les suivent curieusement du regard; ils doivent être un complément et un supplément de notre armée. 1 » Ils peuvent la rendre invincible, et comme conséquence, nous « rendre la l'ace » que nous avons perdue. Car, il n'y ti pas à le dissimuler,on nous traite яvec la désinvolture (¡ue les grandes na- tions ne se permettent qu'avec les vain- cues et les mutilées. I » On a souvent dit du Gaulois qu'il avait le grand défaut de ne pas savoir profitor de ses victoires. .Mions-nous nous endormir sur nos lauriers ? Com- ment ! nous aurions le moyen de recon- quérir notre suprématie militaire et nous ne le ferions pas ! Pourtant, nul n'ignore que celte suprématie entraine, engendre les autres. 1/histoire du passé et les événements récents nous le prou- vent. » Ignorez-vous que Paris n'est qu'à 275 kilomHres de Metz et que 1.000 aé- roplanes venus de la frontière le peu- vent l)onil)ai4ler en une demi-journée? Attend e/,-vous que nos adversaires présents ou futurs, à qui nous ensei- gnons bénévolement l'art de voler et à qui nous fournissons nos appareils, conslruit-enl, les premiers, les escadril- les qui viendront voltiger au-dessus de nos villes ? I » A (ternirez-vous dans une inertie la-' mentabie que nos ennemis soient maî- tres de i'air pour vous décider à agir ? » Nous devons être les plus forts dans l'air, comme d'autres le sont sur l'eau, et alors on nous traitera avec des mé- nagements. Vous n'aurez plus besoin de perdre votre temps en conversations comme vous l'avez fait dernièrement. Votre force garantira votre droit. | I » Mais que faut-il faire, direz-vous, pour réaliser ce rêve et qu'il devienne un fait puissar^et redoutable? » Avoir toujours sous la main environ lfj,Ç03 aéroplanej répartis entre поз corps d'armée, nos places fortes, nos co- lonies et nos ports de guerre. I » Mais quijteut obtenir (jue la somme nécessaire soit mipe au service de l'a- viation militaire? La presse, la publi- cité par le i)iipier et la parole. Ce sont les,meilleurs moyens d'agir sur l'opi- nion publique, à qui les Parlements ne savent i>as résister lorsqu'ils la sen- tent tenace... » ^ Le Syndicalisme \ VHum'inilé publie un rapport du se- crétariat intei'nalional qui donne le nombre des ouvriers syndiqués dans les divers pays en l !)i ;9 et on 1910. j C.ette statistique vaut ce qu'elle vaut. Prenons la telle que l'on nous la donne. 11 en résulte, pour ne parler que des pays importants, que le nombre des syndiqués a augmenté en Allemagne seulement. | 11 a diminué en Angleterre, en Autri- cbe, au Pays-Bas. i 11 est stationnaire aux Etats-Unis, en France, en Australie, en Belgique. I 11 semble donc que les travailleurs un peu partout cessent d'être séduits par le mirage syndicaliste. I I Au surplus, à con.9idérer la France en particulier,on constate que les 977.350 syndiqués représentent à peine le dixiè- me des ouvriers.Cela prouve combien est insoutenable la prétention des syndica- listes de parler au nom du ntionde du travail. C'est la faiblesse des gouver- nants et des parlementaires qui fait la force de cette infime minorité de yiO' lents et d'agitateur». 1 & •• 7 Le Deuil est levé Dans les atlas qu'on mettait entre les mains des élèves de l'école primaire,l'Ai' sace et !a Lorraine figuraient tçujoura e t q u a n d même sur la. o.'irt'! de l''ranoe ; s e u l e m e n t , e ' i e s y ('.(aient roprésentées sous une teinte uniforme surc.Iiargée do bachures noires qui, d'iino faron cons- tante, pénéti-aient les jeunes CdHirs du deuil de la patrie. Aujourd'liui, r.iui) rien. A di'oito do la ligne sinueuiiO (|ui ('••innii n o t r e frontiè- re, (lu blanc (itc; in'it : .Mlc.inagne. Les bambins d s l a lai(]U'). 'es enfants du l)loc n'ont évidemuHMit p a s I)e tiiu d e c o n n a î t r e l'auiiHitatiou d'il y a (jua- rante ans. Plus de oi'èpe au bras do la Fraiîco. Le deuil est levé. re Frùîecîiral en Orienî De Conslantinople à VE'-Jai)- : Un incident i|ui vient d'à voir lieu R m y r n e , a u villago liairacli, vioni de motiver u n e i n t e r v e n t i o n oflic-io'le di; la l''rance à Constantinojile on favenr des jirétres catholiques, de sujétion ila' lienne. 11 s'agissait du c-uré catholi'|ue de ce village de iia;i'ac!i, <juo la poli(;e loc.ale voulait expulser de (orce, à c a u s e dii sa sujétion italienne. Le pr(;'tre catliolique s'est anssit(')t adressé au consulat de l-'rance à SniYrne. Le consul, (oui on demandant des insiructions à raml)as- sade à ConstanlinopN;, assura la pro- t(!(!tion des prêli'cs ca(lioli(|ui>.'^. se ba- sant sur le protoclorat des catiioliiiues dont jouit la i' raiic.o en Orient. Ce pro- tectorat s'exfirce snilout ;i l'égard des religieux et d'i-i r(!li:;io!ises, (juelle que soit leur .sujétion parliculii.'re. Notrea•l!I)assadlMlr,•^LГ.on¡pard,vient de (aire unedémaiche ollicieile àreteffet a iprès de la Su))lime Porte, pour décla- r e r a u m i n i s t r e de'^ aiïaires étrangères que la l''ranco n'accepti^ra l'expulsion d'aucun religieux catholicjue, sujet ita- lien, les considérant tous comme des Drotégés fran(:ais. SOUSCRIPTION irUERDITE IJEcho ÚR Paris, qui avait ouvert une souscription pour le capitaine Lux, pu- blie la note suivante : ' « Hier, sous l'impression de cette joie patriotique que l'acte d'énergie du capi- taine Lux a causi'e à tous les Français, Vh'rho de Paris prenait l'initiative d'une souscription deHtin('e à oll'rir un objet d'art au vaillant odicier. j » .\ussit(jt le ministre de la guerre a conununi(|ué à l 'A gence Havas la note suivante : ' R De divers cotés, on a annoncé des » réceptions ou des fêtes en l'honneur du » capitaine Lux, et certains journaux » ont pris l'initiative de souscriptions en » s a faveur. I » E n présence de ces Informations, » nous pouvons déclarer que le capi- » Laine Lux a reçu l'ordre de se sous- » traire à toute espèce de manifestation » ayant ce caractère,quelle qu'elle puisse » être. » I » Cette décision ministérielle est di- gne du ministre dont l'activité s'est sur- tout manifestée, à la tête de l'armée, lardes circulaires où lesofliciers étaient ivrés k la délation et à la vengeance des loges. »Notre souscription n'avait aucun ca- ractire agressif; elle était le témoigna- ge d'une allégresse et d'une reconnais- sance que tous les patriotes de tous les pays ne peuvent manquer de ressentir lorsi|u'un otlloier accomplit son devoir avec bonheur et avec crânerie. » 11 ajiparaíl f[uo ces sentiments échappent à iVI. Mossimy... i » La sousoriplion de l'Echo de Pa- ris en faveur de ce brave et loyal servi- teur de la l'rance est d(mc supprimée purement et simplement par ordre de M. Messimy, chef suprême de l'année d e F r a n c e . » La révolution au Paraguay Paris. — Le miniiière des aiTaires étrun gères communique la note suivante : Le ministre résident de France au Para fiuay a DU faire parvenir, par une voie rournée, des nolivolliis (éICK!iiplu(|uos au 'ministère des All':iiio.s (Mr.uiià'rc.s. Il en l'ô- suite (|ue lurévoluiion conliuue,sans com- bats sérieux, par le hlocu.s do la capitale et l'inlerrupliou dos un.¡calions. Les au- torités espèrcni la Hn (les (loiihlos acUu'Is diins le courant do C(! mois. Otto connnu- nication téléyrapliiiiue on ihite du 28 de- ccnîhre est lu . SOUIÎ ^ qui soit parvenue au nrmis(èro des Affaires élriiii^.ères depui. !(i counnenceuioiit do la lôvolution ac iu(;llo. , l.cs nouvelles postales de l'Assomption on (lato du 29 iiovenihre doruior, sont par vouucsii Paris le 23 dceouihi'e, M. lieliu n'.i pu répondre, car il no les ? pas reçuiis, aux deuiandiis do renseigne- ments ([ui lui élaient adressées i)ar iéli^- {iranune dans lecoiiianL de décembre. Le ininislère des ACr'aiios élrau^;ôres n'en a l)as moins, à plusieurs reprises, au cours (lu mois de décembre, la il publier his nou- v(!lles dont il (lls|)osait sur l(^s coiiliuuellos révoliilions dont le Pai a;^uay lulle lliéàlro au cours de 1!)M 11 a si^uali^ i'interi'ui)tion des coinnuinicalions dés ([¡relie fut évi- denUi. Sur l'élal du l'ara^icay et sui'les e()u(litions ét'(>iioiniiiu"s (|iii y régnent,des iuuioalious avaieiil é(ô donué'-s à la Cham- bre (les (b^i'ulés par le l'apjiOil sur le bnd» <40l des affaires éli'atifiôres de I!)I2. Reconnt$s Français, ils sont libérés Home. — Douze Arabes qui étaient pri- souuiers à l'ili! de l'ouza, vicuiHuU d'èiro n r - en liluM té u ' à c e à leur (jualilé de su- jets français. Ces Arabis avaient été arrê- té; au cours d'une C-cliaiin'ouréo |)ièsdo lieu^liazi et lui' ' nés à l'ou/.a avec huit ceiiis autres pri'ionniers. Dé i leur ariivée, ils n'avaiiuit pas cessé (le protester, faisant valoir leur ([Uiilite do Tunisiens. I Us racontaient avoir été arrêtés le jour ntême où ils conduisaient à Henghazi une caravane avec des marchandises tunisien- nes. finalement, grâce à l'intervention de notre an)bassa(le à lïouie, on a (lui par les croire. Et les douze Aral)os, transportés à Naples, ont été mis mardi en liberté. Attentat en Turquie Saloni(|ue. — Un poste de gendarmerie' a été détruit i)i'ès d'ischtip |)ar des bombes à la dynamite. Les inlormatlons reçues à ce sujet ne disculpas s'il y a eu des morts et des blessés. La surexcitation a de nouveau augmenté à Isclitip et dans les environs. «cSäB» M. 'Poms à Versailles Versailles. — M.Pams, ministre de l'a- 'priculture, est venu mardi matin visiter l'Ecole d'horticultuie de Vei'sailles.Il était accompagné de Mme Pains, de sou cliefdo cabinet, de M. Herlbaiilt, directeur de l'a- gricultuie, et de M. Jouhanuaud, secrétai- re général de la [¡réfecturo de Seine-et- Oise. Après avoir visité les jardins et les ser- res de l'Ecole, le n\inlstroa remis la croix d'oflicier du Mérite agricole à M. Picbot, jardinier i)rincipal,et la croix de chevalier a M Grandvoinnet, surveillant. Avant de se rotir(!i', le ministre a laissé line gratilication en argent pour le polit personnel. LASANTE DE CURIE Paris. — Mme Curie avant été soudaine- ment prise d'une cri (> d'aiijUMuIicite aiguë et le docteui-Walhter avant, jugé qu'une opération s'imposait, la malade avait été transportée ees joui s derniers Л la clinique dos sœurs (l(! la rue lüomet. Ou uous y a (1(^с1аг(' merci'edi matin que la date de l'opi'ratiou n'éiait pas encore lixée, mais (pie ctille ci aurait lieu Inees- sain meut Mme Curie a pa.ssé iiue bonne nuit. Il n'a été eouslat.ii aucune aggravation du mal deimis mai'di .soir. « cw- ~ - La Famine dans VOurat Sainl-Pélcr.sbourg. Un iélégrammG • trOreul)ourg auiioiici» (|ue la famine dans celte l'.rovince (!.sl tellemenl grande, que les|)ajsan.s ¡¡rivivs de uoiiniture vendent-^ leurs eiifatils aux Kirghiz, nomudos. / ENSEVELIS SOUS LA NEIGE Milan. — Ou vient d'être (ixé sur le sort do MM. Allred triz- Ui et Jean Edelmann, les doux aliiini.stes disiiarus dei)uis huil jours. L'ô(|iiipo de sauvetage secondée par un déLichemcnL de ¡¡ioniiiers, (¡ui était i)arlie à sa reclKjre.he, a vu la ijoinle d'un ski émerger do la neige près de la Mologna Grande. On a cominciicé iminédiatement des fouilliis cl l'on a liiii [)ar relirer de la neige les cadavres des doux malheureux al()inislcs. La santé de François-Joseph I Vienne. — Dans les milieux officiels on iaconU! (i"e l'empereur François-Joseph esttomJ*é malade à la suite d'iinescéne très violonlo av(>cle prince liériliur. Celui-ci s'élnit éuorgiqiiement opposé à ce (|uo (e cliel d'é(at-ui,i or géïKjral donnât sa démission. L'allercat ii i|iii éclata à ce sujet avec le souverain irrita tellement ce- lui-ci (jue, tremblant de colère, i-'rançois- Joseph déclara à François (''erdinand : — So lang'ich le'ie, rcgiere ich ! (Tant que je vivrai, je régnerai Ij Cette scène avait telieinniit impression- né l'empereur (¡ne se-; médecins liiiordou- nèrent un repos ('oiu|)lct et de se garder do toute initatiun et do tout travail. Le Khédive à Solum Le Caire. — l.n khédive, accompagné do sa maison nuliiaire, est pai'li pour la baie de Solnui, alin de visiter le nouveau port cédé à l'Egypte. Le in'ince compte séjour- ner à Solum pendant toute la semaine. j informations M. Caillaux, président du Conseil, a reçu mercredi matin M. Jules Cambon, ambas- sadeur de France û Berlin. M. Caillaux, président du Conseil, prési- dera dimanche prochain le banquet dea « Biens do Normandie ». Il |)rononcera, à cotte occasion, un important discours po- litique. Le Président do la République,qui avait, il y a que|(|ues jours, olfert une chasse à M. Clemenceau, ancien président du Con- seil, en a oU'ert, mercredi, une ù M. Aris- tide Briand, également ancien président du Conseil. Une rencontre an pistoleta eu lieu mer- credi matin au paredes Princes enti-e MM. Laurent Tailiiade et Sylvain Bonmariage. Deux bulles ont été échangées sans ré- sultat. Les adversaires se sont réconciliés. La grève de Lancashire Londres. — D'importantes réunions ont en lieu mardi à Manchester entre les di- recteurs dos usines de tissage et leurs ou- iriers pour examiner la proposition laite par M. Askwith d'une tentative d'arbi- trage,mais elles ne semblent pas avoir don- né de résultat satisfaisant. Les directeurs, en o/I'et, tout en accep- tant de se rencontrer demain avec le délé- gué du ininislère du Commerce afin de discuter avec lui de la situation, ont cru bon de déclarer qu'ils étaient déterminés à persévérer dans l'attitude observée par eux, c'est ù dire à maintenir le lock-out. D'autre part, le comité de la Fédi^ration des directeurs de filatures a également déci- dé dans l'après-midi de ne pas revenir sur leur décision de fermer lai usines trois jouri sur six. L'affaire Marix Rouen. — Les débats de l'alTaire Marix ont repris mercredi devaiitlacour d'appel de Rouen. . M. Sierra de Luna est dans la salle. Ces jours derniers, il a écrit à M" Léouzon i.e Duc, avocat de Marix, potir protester con- Ire le bruit de sa fuite et déclarer (( (|u'il se ferait un devoir de paraître à la pro- chaine audience du •'! janvier pour démen- tir, preuves en mains, des allégations fan- taisistes etiutéi'usséeset,si besoinO'ii,iiour- sulvre en laux témoignage Mme do Luua,' son frère cl les iiutres personnes en cau- se ». ! Au début de l'audieiKU!, M < Î Léouzon Lo ' Duc dépose des conclusions tondant, eu ce (pii coiHMîrue lo fait Sierra de Luna, à renvoyei' .Murix devant un conseil do guer- re, le capilaiiie restant seul inculpé de l'alfaire, et à surseoir à l'iixauicn du fait Royer jusiiu'après le jugement du conseil de guerre. I Lu Cour se retire pour délibérer sur ces conclusions. ' DOUBLE ASSASSINÂT Paris. — M. Hippolyte Monean, 91 ans, ' renlier, et sa bonne Mme Vve Ai'/eux,néo Louise Petit, 71 ans, habitaiU, 2 rue do l'Eglise à Tliiais ont été trouvés assassinés meriîredi malin. u Le vol est le mol)ile du crime et le mon- ! tant dos valeurs dérobées semble être 'un- \ j)or.ant. Il Ji. Jicbut, commissaire de police de ; Clioisy-lo-lioy (lui a ouvert une eni|uôto a j relevé dos empreiiiles digitales dos |)lus . inicressantes pour le résullatde son infer- i matioa. - ' i .mnrsmm. ii--;:-) Trois ouvriers asphyxiés ( Beauvals. Mardi matin, dans une nsine de produits cliimiqiies, à Villers- Saint-Sépnlcre, trois ouvriers, Fournier, Albert père et lils sont tombés dans un ga- zogène en réparation,et ont été aspliyxiés. I On parvint avec b(!aucou|) do i)eino á re-, tirei'Fournier et Albert père oui succom- bèrent; Albert Ills put être ranimé. Albert père lai.se neuf enfants. ^ PRIS SOUsliá AV.UANCHEi Genève. -— Une formidable avalanche s'est préc¡i)¡tée sur la petite comiuiiim .d'Averolle et y a démoli plusieurs mai- sons. ] Une équipe do sauvetage s'est lui.se im- imédiatement à l'œuvre (lour enlever les idécombres. Elle a retiré le cadavre d'un jeune homme de vingtaiis. l.cs antres per- sonnes ensevelies sous l'avalaiicln avaient lélé plus ou moins giiévemeui ble sée.s, imais toutes ont pu cire sauvées. ^ ! Lb traité Franco-.!¡¡ emnid : L<e d r o i t «l'<»c»'«B|>:i<!<ii» «lo SSijjs?»<I<»r I Berlin. — Dans les comptes rendus (lue la presse a donnés dos débats de la cmu- niission du Sénat fiançais, il a été p.irlé tJu droit d'()(Cu[)or Mogador, (pie .M. do Ki- derlen Wœi.luer aurait réclamé dans les pourparlers avec M. (Jambon. La Gazelle f'e l'Allemagne /ht Nord est au- . torisée à déclarer (|U(! pareille demamla 'n'a jamais été formulcw. Le con4ii Russo-Persan Iîx<Sc(ili<>ii><« à Ts«î»piz Tubriz. — La cmir martialeinslituée mar- di a condamné à mort pour atta(|uos con- tre les troupes russes l'agitateur Cheikh Sélim, l'iiitluent cluifde inoullahi Ibrahim, et cin(| autres Persans. I La sentence a été exécutée diins l'après- midi eu présence d'une foule nombreuse. L3 kmi Ifi-fiims M. títirs'tsiií il (^<>!i.4(:i.:iti opie Rome. — Le mariiui; Garroui, qui avait éié nommé auil)a'sa(itur a Conslanliiiop e peu de jours avant la L'.uerro, vient d(î re- cevoir l'ordre de se tenir prêt pour un dé- part prochain. On assure (|ue M. Garroni devra se ren- dre à Conslantinople. > Un ii!i!i\e:<;i согр.ч il':)riuc<9 en Turin. — t.a Gazelle ilel Popolo annonce la formalion (i'im nouveau corps d'arnii'e, destiné à augiueuler les forces d'occupa» tion do la Cyréua'iiiue. On renforcera surtout la garnison de Derna, alin de i)ouvoir au plus tôt s'empa- rer du haut plateau. C'est en eflet de ce liant plateau que la ville de Derna reçoit son eau [lar un atpieduc. Los Turcs et les Arabes l'endommagont lré(|uemment et i roccu|)alion (le ces sources avec une forte garnison semble nécessaire pour empêcher , que les dégâts no se répètent continuelle- ment.

I L3 kmi Ifi-fiimsarchives.ville-saumur.fr/_depot_amsaumur/_depot_arko/fonds/echo_s… · SöixaniL et-onzièiîî année —e Г 3 ^ CINQ centimes le Numéro Ven red 5i Janvie r.)îr

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  • SöixaniL et-onzièiîîe année — Г̂ 3 CINQ centimes le Numéro Ven redi 5 Janvier r.)î2

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    Journsil Politique, Littéraire, d'întérêt ioeai, d'Annonces Judiamires et d'Avm Divers T O U S L E b LE D I M Â N C H E E X C E P T t

    •niié-nmn osi renouTftiô d oitioe J l'eipiratlOU, le» 4 n « ne sont pie .laittiBce esi orénentép il l'sboanA tans ¿^rangement p'lui. C i

    Lei »bonaeüaent« et les InisertJoBi doliraat ït?e psyé» d'âTsnce.

    a é r i e n n e Dans Vliciio de Paris, M. Gabriel

    B o n v a l o t i n v i t e l a P r e s s e à p e s e r s u r le P a r l e m e n t pour que l ' a v i a t i o n m i l i t a i r e d e v i e n n e v r a i m e n t n o t r e q u a t r i è m e a r -m e :

    I « T^es a é r o p l a n e s p e u v e n t ê t r e a u t r e c h o s e q u ' u n e disti a c t i o n p o u r l e s F r a n -ç a i s qui l es s u i v e n t c u r i e u s e m e n t du r e g a r d ; i l s do ivent ê t r e un c o m p l é m e n t et un s u p p l é m e n t de n o t r e a r m é e .

    1 » I l s peuvent la r e n d r e i n v i n c i b l e , e t c o m m e c o n s é q u e n c e , n o u s « r e n d r e l a l'ace » que nous a v o n s perdue . C a r , i l n 'y ti pas à le d i s s i m u l e r , o n nous t r a i t e я v e c la d é s i n v o l t u r e (¡ue les g r a n d e s n a -t ions ne se p e r m e t t e n t q u ' a v e c les v a i n -c u e s et les m u t i l é e s .

    I » On a s o u v e n t dit du G a u l o i s q u ' i l a v a i t le grand défaut de ne pas s a v o i r prof i tor de ses v i c t o i r e s . . M i o n s - n o u s nous e n d o r m i r s u r nos l a u r i e r s ? C o m -m e n t ! nous a u r i o n s le m o y e n de r e c o n -q u é r i r notre s u p r é m a t i e m i l i t a i r e et n o u s ne le f e r i o n s p a s ! P o u r t a n t , nul n ' i g n o r e q u e ce l te s u p r é m a t i e e n t r a i n e , e n g e n d r e les a u t r e s . 1/his to ire du p a s s é et les é v é n e m e n t s r é c e n t s nous l e p r o u -v e n t .

    » Ignorez-vous q u e P a r i s n 'es t q u ' à 2 7 5 k i l o m H r e s de Metz et que 1 .000 a é -r o p l a n e s venus de la f r o n t i è r e le p e u -vent l)onil)ai4ler en une d e m i - j o u r n é e ?

    At tend e/,-vous que nos a d v e r s a i r e s p r é s e n t s ou futurs , à qui nous e n s e i -gnons b é n é v o l e m e n t l ' a r t de voler et à qui nous f o u r n i s s o n s nos a p p a r e i l s , cons l ru i t -en l , les p r e m i e r s , les e s c a d r i l -les qui v iendront vo l t iger a u - d e s s u s de n o s vi l les ? I

    » A ( ternirez-vous d a n s une i n e r t i e l a - ' m e n t a b i e q u e nos e n n e m i s s o i e n t m a î -t r e s de i ' a i r pour v o u s d é c i d e r à a g i r ?

    » Nous d e v o n s ê t re les p l u s f o r t s d a n s l ' a i r , c o m m e d ' a u t r e s le s o n t s u r l ' e a u , et a l o r s on nous t r a i t e r a a v e c des m é -n a g e m e n t s . V o u s n ' a u r e z p lus b e s o i n de perdre votre t e m p s en c o n v e r s a t i o n s c o m m e vous l ' a v e z f a i t d e r n i è r e m e n t . V o t r e force g a r a n t i r a votre droi t . | I » M a i s que faut - i l f a i r e , d i r e z - v o u s , pour r é a l i s e r ce rêve et qu ' i l d e v i e n n e u n fa i t p u i s s a r ^ e t r e d o u t a b l e ?

    » A v o i r t o u j o u r s s o u s la m a i n e n v i r o n l f j ,Ç03 a é r o p l a n e j r é p a r t i s e n t r e п о з c o r p s d ' a r m é e , nos p l a c e s f o r t e s , nos co-l o n i e s et nos por ts de g u e r r e . I » M a i s q u i j t e u t o b t e n i r ( jue la s o m m e n é c e s s a i r e so i t mipe a u s e r v i c e de l ' a -v i a t i o n m i l i t a i r e ? L a p r e s s e , l a p u b l i -c i t é p a r le i)iipier et la p a r o l e . Ce s o n t l e s , m e i l l e u r s m o y e n s d ' a g i r s u r l 'opi -n i o n p u b l i q u e , à qui les P a r l e m e n t s ne s a v e n t i>as r é s i s t e r l o r s q u ' i l s l a s e n -t e n t t e n a c e . . . » ^

    Le Syndicalisme \ V H u m ' i n i l é p u b l i e un r a p p o r t du se -

    c r é t a r i a t i n t e i ' n a l i o n a l qu i d o n n e l e n o m b r e des o u v r i e r s s y n d i q u é s d a n s l e s d i v e r s p a y s en l!)i;9 et on 1910. j

    C.ette s t a t i s t i q u e v a u t ce q u ' e l l e v a u t . P r e n o n s la te l le q u e l 'on nous la d o n n e .

    11 en r é s u l t e , pour ne p a r l e r q u e des p a y s i m p o r t a n t s , q u e le n o m b r e des s y n d i q u é s a a u g m e n t é en A l l e m a g n e s e u l e m e n t . |

    11 a d i m i n u é en A n g l e t e r r e , e n A u t r i -c b e , a u P a y s - B a s . i

    11 es t s t a t i o n n a i r e a u x E t a t s - U n i s , e n F r a n c e , en A u s t r a l i e , en B e l g i q u e . I

    11 s e m b l e d o n c que les t r a v a i l l e u r s u n peu p a r t o u t c e s s e n t d ' ê t re s é d u i t s p a r le m i r a g e s y n d i c a l i s t e . I

    I A u s u r p l u s , à con.9idérer l a F r a n c e e n p a r t i c u l i e r , o n c o n s t a t e que l es 9 7 7 . 3 5 0 s y n d i q u é s r e p r é s e n t e n t à p e i n e le d i x i è -m e des o u v r i e r s . C e l a p r o u v e c o m b i e n e s t i n s o u t e n a b l e l a p r é t e n t i o n des s y n d i c a -l i s t e s de p a r l e r a u n o m du ntionde d u t r a v a i l . C ' e s t l a f a i b l e s s e des g o u v e r -n a n t s et des p a r l e m e n t a i r e s qui f a i t l a f o r c e de c e t t e i n f i m e m i n o r i t é d e yiO' l e n t s et d ' a g i t a t e u r » . 1 & • • • — 7

    Le Deuil est levé D a n s l es a t l a s qu 'on m e t t a i t e n t r e l e s

    m a i n s des é lèves de l ' éco le p r i m a i r e , l ' A i ' s a c e et ! a L o r r a i n e figuraient t ç u j o u r a

    e t q u a n d m ê m e s u r la. o.'irt'! de l ' ' r a n o e ; s e u l e m e n t , e ' i e s y ( ' . (aient r o p r é s e n t é e s s o u s u n e t e i n t e u n i f o r m e s u r c . I i a r g é e do b a c h u r e s n o i r e s q u i , d ' i ino f a r o n c o n s -t a n t e , p é n é t i - a i e n t l e s j e u n e s CdHirs d u d e u i l d e l a p a t r i e .

    A u j o u r d ' l i u i , r.iui) r i e n . A di 'oito do l a l i g n e sinueuiiO (|ui ('••innii n o t r e f r o n t i è -r e , (lu b l a n c ( i t c ; in' i t : . M l c . i n a g n e .

    L e s b a m b i n s d s l a lai(]U') . ' e s e n f a n t s du l ) loc n ' o n t év idemuHMit p a s I)e tiiu de c o n n a î t r e l ' a u i i H i t a t i o u d'il y a ( j u a -r a n t e a n s .

    P l u s de oi'èpe a u b r a s do l a F r a i î c o . L e d e u i l e s t l evé .

    re Frùîecîiral en Orienî De Conslantinople à VE'-Jai)- : U n i n c i d e n t i|ui v i e n t d 'à v o i r l i e u

    R m y r n e , a u v i l l a g o l i a i r a c l i , v ioni de m o t i v e r u n e i n t e r v e n t i o n oflic-io'le di; la l ' ' r a n c e à C o n s t a n t i n o j i l e on f a v e n r d e s j i r é t r e s c a t h o l i q u e s , de s u j é t i o n i l a ' l i e n n e .

    11 s ' a g i s s a i t du c-uré c a t h o l i ' | u e d e c e v i l l a g e de i i a ; i ' a c ! i , d'aiijUMuIicite aiguë et le docteui-Walhter avant, jugé qu'une opération s'imposait, la malade avait été transportée ees joui s derniers Л la clinique dos sœurs (l(! la rue lüomet.

    Ou uous y a (1(^с1аг(' merci'edi matin que la date de l'opi'ratiou n'éiait pas encore lixée, mais (pie ctille ci aurait lieu Inees-sain meut

    Mme Curie a pa.ssé iiue bonne nuit. Il n'a été eouslat.ii aucune aggravation du mal deimis mai'di .soir.

    « cw- ~ -

    La Famine dans VOurat

    Sainl-Pélcr.sbourg. — Un iélégrammG • trOreul)ourg auiioiici» (|ue la famine dans celte l'.rovince (!.sl tellemenl grande, que les|)ajsan.s ¡¡rivivs de uoi ini ture vendent-^ leurs eiifatils aux Kirghiz, nomudos. /

    E N S E V E L I S S O U S LA N E I G E Milan. — Ou vient d'être (ixé sur le sort

    do MM. Allred triz- Ui et Jean Edelmann, les doux aliiini.stes disiiarus dei)uis huil jours .

    L'ô(|iiipo de sauvetage secondée par un déLichemcnL de ¡¡ioniiiers, (¡ui était i)arlie à sa reclKjre.he, a vu la ijoinle d'un ski é m e r g e r do la neige près de la Mologna Grande.

    On a cominci icé iminédiatement des fouilliis c l l'on a liiii [)ar rel i rer de la neige les cadavres des doux m a l h e u r e u x al()inislcs.

    La santé de François-Joseph I

    Vienne. — Dans les milieux officiels on iaconU! ( i"e l 'empereur François-Joseph esttomJ*é malade à la suite d ' i inescéne très violonlo av(>cle prince liériliur.

    Celui-ci s'élnit éuorgiqiiement opposé à ce (|uo (e cliel d'é(at-ui,i or géïKjral donnât sa démission. L'allercat ii i|iii éclata à ce sujet avec le souverain irrita tel lement ce-lui-ci (jue, t remblant de colère , i-'rançois-Joseph déclara à François (''erdinand :

    — So lang'ich le'ie, rcgiere ich ! (Tant que je vivrai, je régnerai Ij

    Cette scène avait telieinniit impression-né l 'empereur (¡ne se-; médecins liiiordou-nèrent un repos ('oiu|)lct et de se garder do toute ini tat iun et do tout travail .

    L e K h é d i v e à S o l u m

    Le Caire. — l.n khédive, a c c o m p a g n é do sa maison nuliiaire, est pai'li pour la baie de Solnui, alin de visiter le nouveau port cédé à l 'Egypte. Le in'ince c o m p t e séjour-n e r à Solum pendant toute la s e m a i n e . j

    informations M. Caillaux, président du Conseil, a reçu

    mercredi matin M. Jules Cambon, ambas-sadeur de F r a n c e û Berlin.

    M. Caillaux, président du Conseil, prési-dera dimanche prochain le banquet dea « Biens do Normandie ». Il |)rononcera, à cotte occasion, un important discours po-litique.

    Le Président do la République,qui avait, il y a que|(|ues jours , olfert une chasse à M. Clemenceau, ancien président du Con-seil, en a oU'ert, mercredi , une ù M. Aris-tide Briand, également ancien président du Conseil.

    Une rencontre an pis toleta eu lieu mer-credi matin au p a r e d e s Princes enti-e MM. Laurent Tailiiade et Sylvain Bonmariage .

    Deux bulles ont été échangées sans ré-sultat .

    Les adversaires se sont réconciliés.

    L a g r è v e de L a n c a s h i r e

    Londres. — D'importantes réunions ont en lieu mardi à Manchester entre les di-recteurs dos usines de tissage et leurs ou-i r iers pour e x a m i n e r la proposition laite par M. Askwith d'une tentative d'arbi-t rage ,mais elles ne semblent pas avoir don-né de résultat satisfaisant.

    Les directeurs, en o/I'et, tout en accep-tant de se rencontrer demain avec le délé-gué du ininislère du C o m m e r c e afin de discuter avec lui de la situation, ont c r u bon de déclarer qu'ils étaient déterminés à persévérer dans l'attitude observée par e u x , c'est ù dire à maintenir le lock-out. D'autre part, le comité de la Fédi^ration des directeurs de filatures a également déci-dé dans l'après-midi de ne pas revenir s u r leur décision de fermer lai usines trois j o u r i sur s ix .

    L'affaire Marix Rouen. — Les débats de l'alTaire Marix

    ont repris mercredi devai i t lacour d'appel de Rouen. . M. Sierra de Luna est dans la salle. Ces jours derniers, il a écrit à M" Léouzon i.e Duc, avocat de Marix, potir protester c o n -Ire le bruit de sa fuite et déclarer (( (|u'il se ferait un devoir de paraître à la pro-chaine audience du •'! janvier pour d é m e n -tir, preuves en mains, des allégations fan-taisistes etiutéi'usséeset,si besoinO'ii,iiour-

    sulvre en laux témoignage Mme do Luua, ' son frère cl les iiutres personnes en cau-se ». !

    Au début de l'audieiKU!, M!i.4(:i . : iti o p i e

    Rome. — Le mariiui; Garroui, qui avait éié n o m m é auil)a 'sa(itur a Conslanliiiop e peu de jours avant la L'.uerro, vient d(î re-cevoir l'ordre de se tenir prêt pour un dé-part prochain.

    On assure (|ue M. Garroni devra se ren-dre à Conslantinople. >

    U n i i ! i ! i \ e : < ; i с о г р . ч i l ' : ) r i u c < 9 e n

    Turin. — t.a Gazelle ilel Popolo annonce la formalion (i'im nouveau corps d'arnii'e, destiné à augiueuler les forces d'occupa» tion do la Cyréua'iiiue.

    On renforcera surtout la garnison de Derna, alin de i)ouvoir au plus tôt s 'empa-r e r du haut plateau. C'est en eflet de ce liant plateau que la ville de Derna reçoit son eau [lar un atpieduc. Los Turcs et les Arabes l 'endommagont lré(|uemment et i roccu|)alion (le ces sources avec une forte garnison semble nécessaire pour empêcher , que les dégâts no se répètent c o n t i n u e l l e -m e n t .

  • I^a baiiDlèce (!n !)IiiEiomet , Romo. — liOs ¡oiiriKuix ilalioiis lacon-lenl (|ue la véi itahlo b a n n i è r e iln i ' ropliète, c e l l e (juo les Turcs c o n s e r v a i e n t p r è c i e u s e -iiKint dans la niosiinôe d 'Einb, à Gonstan-nno|)lo, so t rouvorai l depuis près d'un siè-c l e dans l'arseiuil de la maison de Savoie, à T u r i n .

    LiCM aéroplaiiusi eu Trip

  • L'heureuse Famille L a « B a t a i l l e s y n d i c a l i s t e » a r e l e v é

    les r a p i d e s é t a p e s d ' u n b e a u - f r è r e de M. S t e e g , q u i e n t r a d a o s la c a r r i è r e co-l o n i i l e e a 1 8 9 2 , et la « G a z e t t e » r e p r o -d u i s a i t h i e r c e s c u r i e u x d o é u m e n t s .

    J u s q u ' e n 1 9 1 1 , c e p e a u - f r è r e , M. Ma-l a n , v è g è ' a i l . Mais à p a r t i r q ' a v r î l 1 9 1 1 . il t r i p l e le p a s d a n s la voie de l ' a v a n c e -m e u t .

    L e 1 2 a v r i l , * i l est p r e m i e r g o u v e r n e u r de 2® c l a s s e ;

    L e 4 " j u i n , il est n o m m é r é s i d e n t su-p é r i e u r en l o d o - C h i o e ;

    L e 2 0 o c l o b r e , il e o t r e d a n s l ' é i a t m a -j o r de M. S a r r a u t , a v e c le t i t r e , r e s s u s -c i t é p o u r lui , de « S e c r é t a i r e g é n é r a l du g o u v e r n e u r g é n é r a l » .

    L e 2 5 o c t o b r e , un d é c r e t le d é l é g n e a u x f o n c t i o n s de d i r e c t e u r de? t f i n a n c e s d e T I n d o Chine : 5 5 ООО f r a n c s d ' a p p o i n -t e m e u t s , s a n s c o m p t e r le l o g e m e n t , l ' a -m e u b l e m e n t , les c l iBvaux et les v o i t u r e s .

    Qu'étai t - i l d o n c a r r i v é e u avri l 1 9 1 1 p o u r q u e le b e a u f r é r e de M . S t e e g pr i t

    parei l e s s o r ? M o n Dieu r i e n , o u p e u d e c h o s e : M

    S t e e g étai t d e v e u n m i n i s t r e . On c o m p r e n d q u e le g r a n d m a i t r e de

    l ' U n i v e r s i t é s&nte son c œ u r d é b o r d e r de j o i e à l ' idée d ' a v o i a si bien c a s é t o u s les s i e n s el veui l le q u e les é c o l i e r s d e F r a n -c e s e r o u i s s e n t a v e c lui , en c h a n t a n t d e s c h a n t s r é v o l u t i o n n a i c e s : t La Victoire en chantant nous ouvre la barrière.»

    E n effet, la v i c t o i r e d é m o t r a t i q u e la o u v e r t t o u t e s les b a r r i è r e s a u x S t e e g et a u t r e s b r a v e s g e n s v e n u s d ' O u t r e - R h i n . . .

    P e n d a n t Ids i n t e r v a l l e s des c h a n t s , les i n s t i t u t e u r s d e M, S t e e g f lé t r i ront l ' a n -c i e n r é g i m e :

    « S o n s l ' a n c i e n r é g i m e , j e u n e s é l è v e s , le f a v o r i t i s m e et le n é p o t i s m e r g g n a i e n t .

    « Mais la R é p u b l i q u e a c h a n g é l o u t c e l a . . . » — G. M.

    Salle Oarnot

    ĈÉSIA SAII}IUR№ PATHÉ FRÈ BËS Samedi6 Janvier ,à 8 h. 3j4 . D i m a n c h e 7 J a n v i e r , d e u x m ati

    n é e s et u n e s n i r é a à i h. iji, à 3 h. et à 8 h. 3/i. O u v e r t u r e d e s p o r t e s à 1 h . , 3 h . et

    à 8 h . VUES PRINCIPALES :

    E x e r c i c e s et m a n œ u v r e s de c u i r a s s i e r s ( p l e i n a i r ) . — L e P a r a p l u i e d e T a n t e U r s u l e . — G r a n d e F o i r e de Nijni Novgo-r o d (plein a i r ) , — Fafarifla o u le fifre

    m a g i q u e ( féerie de M. f i a s t o n Velle) — B o n h e u r é p h é m è r e ( d r a m e ) . — R é c o l t e fil-l'Aloèi- я l 'île M a u r i c e (iodu. vnto d(! la Cliambi'c, su I í v i ' í m - i l un j (iih|iiè!i; n ; i -mit ieuso si;r- les or i^jncs du Irailo, stir :oî acle.s plus a;i nioin.s oci 'iiltcs, pins on uiDiiis ()Hi.;ii;ls, (ii; n o t r e di ¡ ) loniai ¡o, (.ii'ti.i) c i iqi .cto est ncci'.ss.iiro. 11 lant iiuo b' Fi 'anco sacliü i.-nlin toute la vér i té .

    VKcUilr, M. Mrnost . l i i d e t : i.ns conl sénal(Mrs qui se i 'onl .daus !] :iol-

    qu(>s jours , invüslis ( r u n m a n d li. soleun il, a u r o n t , po^ir liMii'.s diîl)uti, à rt po:is.3iîi- on acci'ptui' lo t ia i lé I ranco-al lom.in 1 : il c-.t

    i iiul¡s|)(!nHal)lo .qu'ils a r r i v e n t an l . n s o m -bourg a p i é s avoir r é i î ' c h i , !iprù>j a v o i r c o n s u l t é biurs départonuints ro-spi-ctils. (jo n'est pas r iv ' i iro (lo passer sous s i lence on (l(; traiter | ar le dédain un par(;il .siijüt. Nous ne d(!m iiid'^ns finéro plus a u x lutnr.'j .•iénateiirs ; mal.-: (¡n'ils ue so déroboii t pas.

    D e VEcho de J'aris ( i U l l e t de ,Iu-n i u s ; :

    C.i' sont do.s foi iiinlos à lr,)ii\'e.r ot la tà-clii' ii'i'sl au-dü3sus ni ilo la in i i lue l l j lioiino vo'.onlé des deiiK P ' .Vs ni d.', i'I i-ii; 'li use iiuliutrio de k'ü: j m ra.l.ilair • J.

    s n i i o n ' .si iniii-, sav.iii i i.. i.vT n o i voi-sins au siiccos du n o t i o ; 'nlM'pr!so niai'O-caiiu' , en élai't;issaiit o p i x j i i u n é n i o i i t lo c a d r e do l 'ontonto, en los a p p e l a n t à béiié-l i c i o r d e n o t r e c o o p é r a t i o n olloctive et libé-ra le s u r tous loi t e r r a i n s o ù elle peut t o u r êiro ¡u'olitable e t o ù s ' a v è r e la so l idar i té des i n t é r ê t s des d e u x n a t i o n s .

    D ' O U P l ' n v ï n t i o i i

    De M . P a u l - J . d e G a s s a g n a c . d a n s VAu-to/-/id:

    l.a p res s e I rançaise , s a n s dis t inct ion de parli , s ' é m e n t de r i u s u l l i s a n c e des c r é d i t s a l l o u é s ù l 'Aviation mil i ta i re .

    Crédits s u p p l é m o i U a i r o s ou a u t r e t o u r do passo-piisse, peu i m p o r t e . i

    l / e s s e n t i e l est q u e n o t r e aviat ion soit do-tée do subsides suflisauts p o u r lui c o n s e r -ver la p r é c i e u s e a v a n c e qu 'e l le a a c q u i s e .

    Qnaïul u n e nat ion d é p e n s e q u a t r e mil-liards p(MU'sns l u e n u s [ilaisirs, c o m m e la F r a n c o , elle peut biou t r o u v e r do ¡iiioi p a y e r ses a v i a t e u r s et leurs appare i l s .

    L'aviation est u n e quost iou n a t i o n a l e : elle doit ê t r e t ra i tée ainsi , et non c o m m e un s e r v i c e négl igeable ot négl igé .

    l i é c l a m o n s qu 'on lui d o n n e sou dû, ot on lo lui d o n n e r a .

    Los c o n s t r u c t e u r ? , los a v i a t e u r s prodi-guent leur dévouii inent , l e u r s c i e n c e , leur vi.' au b0 . j0in ; oll'rons l 'or n é c e s s a i r e p o u r ii Jidro leur ol'l'ort l'éconil.

    Ce s e r a une b o n n e a c t i o n d o u b l é e d ' u n bon placoiuei i t .

    Chronique Scientifique liCM Béif!«mograpli«M et l e u r s appli«

    catiays de Gallos) ef, a v e c lo m é -mo s u - C O S , Siimedi d e r n i o r , dans lo Gloii-(•e.s/ersiiir(!, à 8 kilomèti 'cs de dis lance . Lo W a r ollico lui avait imposé cot to é i u e u v e .

    Il VvMit faire m a i n t e n a n t um; expériiMico ç n i r o Chojistow ot Cardill', soit u n e dis tan-c e do 'ii) liilouiôli'os à vol d 'oiseau, ot la lord m a i r e do Cardill y p r e n d r a par t on en-g a g e a n t la c o n v e r s a t i o n a v e c s o n c o l l è g u e do Cliopstow.

    L ' i n v e n t e u r a e x p l i q u é q u e son a parei l r e p o s a i t , non pas s u r les o n d e , i ierf / . ieu-iKis, mais s u r la l iaule f i ' é ( iuenc ' , (]i!i|''i '-m e . t . i l a u x s o n s do se r a t t a c h e r les M I S iU X .Maires, ( '(inime l'ai!. I ' (•i:;0'n,i;0,.;i'aidl.> ,/(M' r les Visio.:s 1 II min s.

    C H E M I N S D E F E R D E u ' É T A T AVIS AU PUBLIC

    L ' Â d m i n i ^ t r a ^ i o n d e s C h e m i n s d e fer d e l ' E i a t a l ' h o n n e u r d e p o r t e r à ia c o n -n a i s s a n c e d u p u b l i c q u ' e n r a i s o n d e r i n t e r r u p t i o n m o m e n t a n é e r é s u l t a n t d e la c o u p u r e d e la l igne d ' A o g e r s à P o i t i e r s , e n t r e les ¡stations d u V a u d e l u a y P u y -N' i l re -D. imo et VloDtreu ' l -Bel lay , n o s e r -v ice do v o i t u r e s a u t o m o b i l e s a été o r g a -nisé p o u r a . ssurer le i r a o ï p o r l d e s v o y a -j^Burs et d e s b " g a g e s e n s r e la g a r e d e Mot t r e u i l - B e l l a y et le t e r m i n u s p r o v i s o i r e éiabli a n P . N. 1 4 7 d e v e n u tôle d e l i g n e d e la s e c t i o n de i V l o n t r e n i l - B e l l a y à A n g e r s et v i c e - v e r s â .

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    Il e s t rais an v e n t e a u p r i x d e 0 fr. 4 0 d a n s les b i b l i o t h è q u e s d e s g a r e s d u R é s e a u d e l ' E t a t , d a n s s e s B u r e a u x d e ville et les p r i n c i p a l e s A g e n c e s d e voya-g e s d e P a r i s .

    Ce Livre t G u i ' l e est é g a l e m e n t a d r e s s é f r a n c o , à d o m i c i l e , c o n t r e l 'envoi de s a v a l e u r , en t i m b r e s - p o s t e , a u S e c r é t a r i a t d e la D i r e c t i o n ( P u b l i c i t é ) , 2 0 , r u e d e R o m e , à P a r i î .

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    • d a n s le g r o u p e e s p a g n o l et p a r m i l e s v a l e u r s d e t r a n s p o r l s L ' a o ^ é l i o r a t i o n d e s c a o u t c h o u t i é r e s m é r i t e é g a l e m e n t d ' ê t r e s i g n a l é e .

    N o t r e 3 O / o t e r m i n e à 9 4 5 2 , a p r è s 9 4 7 0 a u d é b u t d e la s é a n c e . D a n s le g r o u p e é t r a n g e r , l ' E x t é r i e u r e r e p r e n d à 9 5 6 5 . V i v e a v a n c e d u S e r b e à 9 1 8 5 et d u T u r c u n i f i é à 9 1 . F o n d s r u s s e s s o u t e n u s . B r é s i l f e r m e . B o n s d e S a o P a u l o 5 1 7 .

    U n i o n P a r i s i e n n e 1 2 4 5 , L y o n n a i s 1 5 4 0 , Crédi t M o b i l i e r 7 0 6 , Crédi t F o n c i e r d 'AI -g p r i e et d e T u n i s i e 6 8 6 , C r é d i t F r a n ç a i s 5 5 2 .

    B a n q u e o t t o m a n e 6 8 6 , N a t i o n a l e d u M e x i q u e 1 0 3 4 . N o u s r a p p e l o n s q u e l a C a i s s e h y p o t h é c a i r e C a n a d i e n n e , q u i o p è r e p r i n c i p a l e m e n t d a n s les r é g i o n s les p l u s fer t i les d e l ' A m é r i q u e d u N o r d , p r o c è d e a c t u e l l e m e n t à l ' é m i s s i o n d e 4 0 . 0 0 0 o b l i g a t i o n s d e 5 0 0 f r a n c s , 4 O / o n e t . Ces t i t r e s p e u v e n t s ' o b t e n i r a u p r i x d e 4 6 7 5 0 , à la S o c i é t é c e n t r a l e d e s B a n q u e s de P r o v i n c e , 2 0 b i s , r u e L a f a y e t t e , à P a r i s , et e n p r o v i n c e , c h e z les b a n q u i e r s m e m b r e s d u s y n d i c a l d e s B a n q u e s d e P r o v i n c e .

    N o r d 1 6 6 0 , L y o n 1 2 5 0 , O r l é a n s 1 2 8 5 , E s t 9 J - 8 , ISord de l'Espagne i2ô, Sara-gosse i18, A a d a l o a s 268.

    Eo i o d u s t r i e l / e s r u s s e s , la B a k o u p a s s e de 1 0 9 0 à M 0 4 , B r i a n s k 5 0 4 .

    M é t r o p o l i t a i n 7 0 3 , N o r d - S u d 2 8 0 , O m n i b u s 7 1 6 , T h o m s o Q 8 1 1 .

    V a l e u r s d ' é l e c t r i c i t é r e c h e r c h é e s . R i o - T i n t o 1 8 5 7 , C a p e C o p p e r 1 5 8 5 0 ,

    T h a r c i s 1 5 1 5 0 , U t h a C o p p e r 3 1 7 5 0 , T e n a b o 11 2 5 .

    Goldf ie ls 1 0 7 5 0 , R a n d - M i n e s 1 7 0 5 0 , E a s t R a n d 8 5 2 5 , d e B e e r s 4 9 4 5 0 , J a g e r s l o D t e i n 1 9 1 .

    P l a t i n e 9 1 7 , H a r t m a n n 6 9 2 . E n c a o n t c h o H i i è r e s , la F i n a n c i è r e

    p r o g r e s s e à 1 7 4 , la M a l a c c a à 2 8 6 5 0 . F r a c c o W y o m i n g o r d i n a i r e 4 5 5 0 , la

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    2* Me BONNEAU, avoué à Saumur, rue des Payens, 20 :

    3 - M» BOISSEAU, avoué à Saumur, rue Cendrière, n- 8 ;

    4- Me GOURAULT,notaire à Saumur, place de la Bilange ;

    5- Me MASURE, notaire à Saumur rue d'Orléans.

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    Le tout dépendant de la commu-nauté Foucher-Richard et de la suc-cession de M. Foucher.

    L'AuJunicATiON aura lieu par le mi-nistère de Mes COURAULT et MA-

    >, SURE, Notaires à Saumur, en l 'é-~ tude de Me COURAULT, le lundi

    22 Janvier 1912,, à 2 heures de ^ l'après-midi.

    On fait savoir à tous ceux qu'il ap-partiendra :

    Qu'en exécution de deux jugements contradictoires rendus par le Tribunal civil de première instance de Sau mur, lea vingt-six octobre et vingt-trois dé-cembre mil neuf cent onze, enregis-trés,

    Aux requête, poursuite et diligence de :

    M. Georges-Auguste Foucher, em-ployé de comm-rce, douiicilié à Sau-mur, rue d'Oi léms, n" 05, act uelle-nient brigaitier à la I re coirnia^iiie de remonte, en garnison à Caen. Agis-sant au nom et comme héritier béné-ficiaire pour partie de son pèri', M Fiaiiçois-Piosper Fducher, suivant acte dressé au greffe du Ti ihuri.il ci-vil de Saumur, le vingt-sept, si'pletn-bre mil neuf cent onze, enrejii.-iti é,

    Demandeur, ayant pour avoué c.ons-tit.ué Me LE R \ Y, exerç^nit prés le Tribunal civil de Suumiir, demeuiant dite ville, rue du Mai'ché-Nnir', n" l'2,

    Contre : !• Mme M;irie-Léonliue Richard,

    négociant' en vins el liqueurs,demeu-rant à Saumur, rue d'Orléans, n- 65, veuve de M. François-Prosper Fou-cher,

    Défenderesse, ayant pour avoué constitué Me BONNEAU, exerçant près le Tribunal civil de Saumur, de-meurant dite ville, rue des Payens, n - 2 0 .

    2- M. Prosper-Auguste-François Foucher, distillateur, demeurant à Saumur, rue Seigneur, n' 80, pris an nom et comme héritier bénéficiaire

    gjur partie de son père, M. François-rosper Foucher, sus-nommé, suivant acte dressé au greffe du Tribunal civil de Saumur, le vingt-trois septembre mil neuf cent onze, enregisté,

    Défendeur, ayant pour avoué cons-titué Me BOISSEAU, exerçant ptès le Tribunal civil de Saumur, demeurant dite ville, rue Cendrière, n- 8.

    I l sera, aux jour, lieu et heure sus-indiqués, procédé par le ministère de Mes COURAULT et MAZURE, nom-més à cet effet, par les jugements sus-énoncés, à la vente sur baisse de mise à prix des immeubles ci-après désignés :

    Désignation Premier Lot

    (Ancien deuxième)

    Une maison, située à Saumur, rue Balzac, n- 42, comprenant :

    Au rez-de-chaussée deux chambres et une cuisine, petite cour vitrée ;

    Au premier étage, trois chambres dont une au-dessus du porche d'en-trée, commune avec le premier lot,

    Grenier et mansarde au - dessus, cave sous la cour ;

    Cour, pompe commune, porche et passage communs ;

    A la suite, petit bâtiment composé de cellier et buanderie au rez-de-chaussée ; trois chambres au premier étage, grenier au-dessus, cabinets.

    Le tout cadastré section G, numéro 634, pour 126 mètres carrés, joint au nord M. Guérineau, au levant la rue Balzac, au midi le numéro 44, et au couchant M. Lutz.

    Revenu annuel : 450 fr. Mise à prix, trois mille francs,

    cl 3 . 0 0 0

    Deuxième Lot (Ancien quatrième, partie)

    Une Maison, située à Saumur, rue Volney, numéro 1 (ancienne rue du Petit-Versailles), comprenant :

    En sous-sol, deux caves voûtées ; au rez-de-chaussée, salle de café el buvette, salle à manger, cuisine au fond avec installation d'eau de Loire, cabinets, pompe.

    Au premier étage, trois chambres, dont une à feu ;

    Au deuxième étage, trois chambres mansardées et un cabinet ;

    Grenier perdu au-dessus et passage; Dans la cour, un cellier avec deu.x

    chambres au-dessus, cabinets,grande re.Tiise, grenier au dessus.

    Joignant au midi M. Chaillou, au couchant la rue Volney, et des deux autres côtés les sœurs de Saint-André.

    Revenus par bail : 910 fr. Mise à prix, huit mille francs,

    ci 8 ,000 Troisième Lot

    (Ancien cinquième) Une cave, sise à Saumur, rue de

    l'Hôtel-Dieu, numéro 7,composée de: Gourdoire, grande cave avec chan-

    tier en pierre, cheminée à l'entrée, cellier au fond avec casier en pierre, puits et latrines communs avec plu-sieurs.

    Jardin et vigne au-dessus de la cour et d'une cave voisine.

    Le tout porté au cadastre sous le numéro 892 de la section H, pour 105 mètres carrés, joint MM. Micault, Poulain et autres.

    Revenu par bail : i 5 fr. Mise à prix : quatre cents francs,

    ci 400

    Toliil ilfs liiisesà prix : i f . 4 0 0 I'.

    ^•'adrfsser, pour renseignements à :

    A .Me LE RAY. avoué à Sai mur,i ue du Murdié Nuir,n° l^.p.mt-suivaul. la vente ;

    2» A M« DOISSEAU, avoué Saumur, rue Cendrière,n» 8, co-li. i tant ;

    3» A M» OONNKAU, avoué à Sau-mur, '20, rue lies Payeus, co-licilaut ;

    4" A M-̂ COURAULT, notnini à Saumur, pl.ice de la liilange, n ' '27 rédacieur et iléuüsilfure du cahiei' charités ;

    5» A Me .MASURE,nntiiire à S: mui, I ue iTOrléans.

    Pour extrait, rédigé par l'avuiié soussigné, conformément aux pres-criptions du Gode de procédure civile.

    Saumur, le 30 décembre 1911. V. LE RAY.

    Enregistré à Saumur, , le Janvier 1912, folio , case , Reçu un franc quatre-vingt-huit centimes, décimes compris. Signé : CHATENET.

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