Prieuré Notre-Dame de la Délivrande - 40, avenue Martin Luther King - 97200 Fort-de-France - 05 96 70 04 67

« Nous avons be-

soin du Cœur de la très Sainte Vierge Marie, pour nous aider à nous maintenir dans notre foi ; sentir cette chaleur de l'amour de Notre-Seigneur Jésus-Christ pour nous. Ne Le voyant plus sous nos yeux ; Le voyant de moins en moins, nous avons be-soin de sentir que la Vierge Marie est auprès de nous. Et je pense que c'est cela qui a fait que la Vierge Marie, à Fatima, a demandé que l'on prie son Cœur immaculé. »

Le 28 mars 1976

Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X - Antilles et Guyane

N

° 2

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« Sans la Foi, il est impossible de plaire à Dieu.» (Héb. XI, 6)

Le temps perdu

Octobre 2017

Racheter le temps : à deux reprises (Eph

5,16 y Col 4,5), Saint Paul utilise cette ex-

pression qui a été diversement interprétée

par les commentateurs. St Thomas d’Aquin

y voit l’obligation de nous garder de la ma-

lice de ces jours appelés mauvais en raison

des tentations, et même de savoir nous abs-

tenir des choses permises.

Ce qui est sûr, c’est que chaque instant

ici-bas est un don de Dieu que nous devons

La Foi de Toujours n° 205 Octobre 2017

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utiliser pour Sa gloire et notre salut.

Malheureusement, non seulement

nous gaspillons souvent le temps en

futilités mais nous l’utilisons même

pour pécher et nous détourner de

Dieu et du chemin du Ciel. Parfois,

le pécheur que nous sommes se dit

qu’il se convertira plus tard, que

Dieu si bon et miséricordieux lui

donnera le temps de se convertir,

« plus tard », « demain », etc…

Quelle folie !

Un homme qui avait failli mourir

racontait combien le temps lui pa-

raissait alors précieux et combien il

regrettait les milliers d’heures pas-

sées en futilités ou péchés. Pensons

aux âmes en enfer ou au purgatoire :

si elles le pouvaient, elles iraient se

confesser et consacreraient plus de

temps à la pénitence et à la prière.

Mais c’est TROP TARD pour elles.

Pour nous, il est ENCORE TEMPS.

Alors profitons-en et faisons une

vraie place à Dieu dans notre vie et

notre emploi du temps.

Chaque jour, donnons du temps à

la prière (prières du matin et du soir,

benedicite, chapelet), à la lecture

(Sainte Ecriture, vie de saints, spiri-

tualité, etc…) et aux bonnes

œuvres. Chaque semaine, en plus de

la messe dominicale obligatoire,

essayons d’assister à une messe

supplémentaire pour adorer , de-

mander, réparer et remercier. Fré-

quentons les sacrements que les

justes de l’Ancienne Alliance ne

connaissaient pas. Chaque année,

participons à une récollection

(Avent, Carême) ou une retraite

pour nous recentrer sur l’essentiel et

repartir d’un bon pied, joyeux et

confiants, l’âme purifiée.

Les gens du monde gèrent leur

temps pour l’argent, le succès, les

plaisirs et les loisirs. Faisons au

moins autant qu’eux pour sauver

notre âme. Vivons l’instant présent

comme nous souhaiterions l’avoir

vécu au moment de notre mort. Ra-

chetons le temps !

Père Frament +

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Jeudi 17 août, les pèler ins déjà en métropole retrouvent ceux par tis des Antilles à l’aéroport d’Orly. A Lisbonne, transport en car jusqu’à Fati-ma où nous nous installons. Malgré la fatigue, beaucoup de pèlerins se ren-dent en privé sur le lieu des apparitions, situé à proximité de la résidence St François.

Vendredi 18 août : chemin de Croix en allant visiter Los Valhinos, le village où habitaient Lucie, François et Jacinthe. Nous avons la joie et le plaisir de rencontrer à la 14ème station le Père Chrissement, venu avec sa famille. Visite et prière au lieu d’apparition où l’ange du Portugal (apparu 3 fois aux enfants pour les préparer par la prière et la pénitence aux appari-

Reportage sur le pèlerinage

paroissial à Fatima

Saint Jacques de Compostelle

Oviedo - Limpias -Lourdes

La Foi de Toujours Octobre 2017 n° 205

tions de la Vierge) donna la Sainte Communion aux trois pastoureaux. L’après-midi, messe dans la jolie cha-pelle du prieuré de la Fraternité, rue de l’Immaculée Conception, à quelques minutes seulement du sanctuaire.

Samedi 19 et dimanche 20 août : messes solennelle et pontificale du pè-

lerinage de la Fraternité. Les pèlerins profitent des temps libres pour visiter le sanctuaire, acheter des souvenirs (ou un siège pliable pour les messes en plein air) ou faire « le chemin de Lucie », pé-

nitence qui consiste à traverser l’espla-

nade à genoux, comme le fit la voyante

pour obtenir une grâce. Après la messe pontificale et le déjeuner, dé-

part pour Saint Jacques de Compostel-le. Les trajets en bus sont l’occasion de se reposer et de prier sereinement le Rosaire, à la suite des demandes in-

sistantes de la Vierge.

Nous profitons du voyage pour une rapide halte à Braga où nous visitons

le sanctuaire le Sanctuaire du bon Jésus du Mont (Santuário do Bom Jesus do Monte) ou Sanctuaire du bon Jésus de Braga. Le sanctuaire, de style baroque, possède une grande église, un escalier monumental qui compose la Voie Sacrée de Bon Jésus : tout au long du parcours ont été édifiées 17

chapelles, souvent remaniées le long des années, avec des démolitions et des reconstructions. Chacune marque les différentes stations de la Via Crucis, le

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Communion des enfants de Fatima don-née par l’ange du Portugal

Fatima, l’esplanade du sanctuaire

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Chemin de Croix. La volonté première des archevêques était que le pèlerin saisisse plei-nement qu’il était victime des illusions trans-mises par ses sens. En montant les escaliers, le pèlerin part à la rencontre de la Vérité, transmise par le respect des vertus théolo-gales : Foi, Espérance, et Charité.

Dimanche soir, arrivée et nuit à Saint Jacques de Compostelle.

Lundi 21 août : lever mati-nal et messe dans la magni-fique cathédrale avant la vi-site guidée. Nous avons la grâce de nous recueillir de-vant le sépulcre de Saint Jacques le Majeur (frère de l’apôtre Saint Jean) où un prêtre célèbre les saints mystères. L’heure matinale nous permet d’éviter les longues heures d’attente de la journée au milieu des pèlerins (ou tou-

ristes !). Puis un guide nous com-mente les richesses et trésors de la cathédrale et du magnifique centre-ville médiéval.

Mardi 22 août, dépar t de St Jacques pour Oviedo et sa cathé-drale célèbre pour ses retables de toute beauté et surtout le saint suaire qui est une toile de lin de 83 sur 53 centimètres gardée dans la Cámara Santa de la cathédrale d'Oviedo et conservée dans une

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Escalier du Bon Jésus de Braga (Portugal)

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Autel de l’église des Petites Servantes de Saint Jean-Baptiste à Lourdes (« sœurs du Rafflay »)

Chemin de croix à Lourdes Saint suaire d’Oviedo (Espagne)

Père Frament +

châsse de chêne recouverte d'argent, l'Arca Santa. Selon la tradition, ce suaire a été appliqué sur le visage de Jésus après sa crucifixion tandis que le saint-suaire de Tu-rin, plus grand, est un linceul qui recouvrait tout le corps de Notre-Seigneur. Après la messe et une nuit à Limpias et son crucifix miraculeux, direction Lourdes où nous terminons le pèlerinage du 23 au 25 août : piscines, procession aux flam-beaux, visite et chapelet à la grotte, visite de la ville sur les pas de Bernadette, che-mins de croix. Nous avons prié pour les chapelles et l’école en nous donnant ren-dez-vous en 2018 en Italie (Rome, Assise, San Giovanni Rotondo) pour les 50 ans de la mort de Padre Pio. Si Dieu veut !

Cadeau de remerciement à Monique Joseph, organisatrice du voyage.

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M onseigneur Henri-Marie Varin de la Brunelière (suite)

Par contre, la situation politique et sociale était deve-

nue délicate. Nous commencions à ressentir, ici, les effets du terrible conflit armé qui se déroulait en Europe. Les tensions politiques qui se faisaient sentir en France, entre le gouvernement légal, occulté et occupé par les Allemands, et la Résis-

tance, dirigée par de Gaulle, avaient inévitablement des retombées chez nous . La menace des Américains d'occuper l'île, et surtout le blocus anglais et américain qui nous privait de tout approvisionnement extérieur, avivaient les passions. Tout manquait. La colère grondait. L'Amiral Robert, haut Commissaire de la France aux Antilles, avait juré au Maréchal Pétain de conserver la Martinique Française. Il tint parole, malgré les ordres et les menaces allemands, les difficultés locales et surtout les pres-sions américaines et anglaises et le nouvel Evêque eut son rôle à jouer pour apaiser les esprits.

Souviens-toi du

« pourquoi ? »

L es congrégations religieuses de Guyane (suite) :

Les œuvres d’éducation

En 1836, l’Etat fonde le cap Saint-Denis, une salle d’asile pour les enfants des employés et des esclaves du domaine colonial. Ce sont les Sœurs de Saint-Paul de Chartres qui se chargent de l’éveil spirituel de ces enfants. A l’abolition de l’esclavage, la majeure partie des enfants en sont retirés, ne restent que les orphelins et les enfants infirmes. Viennent s’ajouter les vieillards et les adultes handicapés.

Aux enfants sont prodigués un enseignement primaire et une formation professionnelle. Formation ménagère pour les filles, formation agricole pour les garçons. Aux malheureux, les sœurs donnaient le peu qu’elles avaient.

De notre Guyane

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De notre Martinique

Selon la tradition, ce suaire a été suaire de Tu-

Seigneur. Après la messe et une nuit à Limpias et son crucifix miraculeux, direction Lourdes où nous terminons le pèlerinage du 23 au 25 août : piscines, procession aux flam-beaux, visite et chapelet à la grotte, visite de la ville sur les pas de Bernadette, che-

école en nous donnant ren-vous en 2018 en Italie (Rome, Assise, San Giovanni Rotondo) pour les 50 ans

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L e père Nicolas de la Marre (suite)

Enfin, le 17 janvier 1640, à bord du Bouquaz, on pouvait prendre la mer, pour un voyage qui serait particulièrement

long et pénible jusqu’au 4 mars 1640. Le vaisseau est surchargé et a pour capitaine un hérétique « le plus oppiniastre de la secte » qui réserve bien des brimades aux religieux.

Ils y répondent par une vie exemplaire et un dévouement sans limites envers les passagers, car ils n’entendaient pas faire une croisière, surtout pas le supérieur, le P. de la Marre, qui a réglementé la vie à bord et le comportement des religieux comme s’ils étaient au couvent.

A minuit, il les réveille pour dire matines, puis c’est une méditation de trois quarts d’heure; il les maintient le reste de la journée pour confesser, catéchiser, traiter des affaires de conscience et faire la controverse avec les hérétiques.

De notre Guadeloupe

La Foi de Toujours Octobre 2017 n° 205

Le vendredi 8 septembre, le Père Frament rentre de métropole où il a pas-sé deux semaines en famille avant d’ac-compagner les pèlerins antillais de Fati-ma (où nous avons eu le plaisir de re-voir ce cher Père Chrissement qui s’est tant donné pour les Antilles) à Lourdes en passant par Braga, Saint Jacques de Compostelle, Oviedo et Limpias. Un grand merci à notre photographe offi-

ciel, Alain MON-THIEUX, qui a pris les photos de ce bulletin. Le Père Frament a ensuite enchaîné avec sa retraite sacerdotale an-nuelle au Pointet prêchée par le Père de Lacoste, professeur au séminaire d’Ecône et l’inamovible et irremplaçable abbé Delagneau (37 ans au même poste !). Mercredi 13 septem-bre : arrivée de Mlle Marie-Astrid C. qui vient de métropole pour prêter main forte à l’école Saint Dominique

Savio. Qu’elle soit d’avance remerciée pour son aide ! L’école a également vu arriver Mme Giliane Alexandre, jeune retraitée de l’enseignement venue remplacer Mlle Marie Giraudeau qui

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La vie au prieuré

Christ de Limpias (Espagne)

La Foi de Toujours n° 205 Octobre 2017

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se marie à Saint-Malo le 7 octobre, en la belle fête de Notre-Dame du Rosaire. Le Père Challan Belval, qui avait préparé les fiancés au ma-riage, recevra les consentements et célébrera la messe. Le 18 septembre, nous subissons le passage du cyclone MARIA aux Antilles, ce qui nous oblige à reporter la rentrée de l’école au jeudi 21. Heureusement, il n’y a aucun dégât à déplorer pour nous. La Vierge Marie et le Bon Dieu nous ont protégés, notamment grâce aux oraisons contre les tempêtes récitées à chaque messe. Lundi 25 septembre : le Père Challan Belval célèbre les funérailles de Mme Alberte PERINA, ancienne paroissienne de la chapelle de Fort-de-France, rappelée à Dieu le 20 septembre à l’âge de 91 ans. Ne l’oublions dans nos prières. RIP.

La Foi de Toujours n° 205 Octobre 2017

Cette suréminente dignité est la rai-son d'être de Son Immaculée Concep-tion, de Son élévation au-dessus des anges, de la toute-puissance de Son crédit auprès de Dieu." Cette élévation donne à Marie une

autorité qui doit inspi-rer notre confiance envers Celle que l'Église appelle Mère de Dieu, Mère du Christ, Mère de la di-vine grâce, Mère du Créateur, Mère du Sauveur. En nous faisant véné-rer ainsi la très Sainte Vierge, l'Église veut susciter en nos âmes un amour filial pour Celle qui est devenue notre propre Mère par

la grâce. Marie nous a tous enfantés au pied de la Croix. Notre prérogative de frères adoptifs de Jésus-Christ doit éveiller en nos cœurs une confiance illimitée envers Marie qui nous a adoptés sur le Calvaire, lorsqu'avant de mourir, le Sauveur nous a présenté à la Co-Rédemptrice, en la personne de Saint Jean, comme les enfants qu'Il désirait La voir adopter, disant : "Mère, voilà Votre fils ; fils, voilà

votre Mère ! Père Challan Belval +

"C'est par la Très Sainte Vierge Marie que Jésus-Christ est venu au monde, et c'est aussi par elle qu'il doit régner dans le monde. » Saint Louis-Marie Grignion de Montfort.

En 431, un Concile général con-voqué à Ephèse proclama et définit le dogme de la Maternité Divine de la très Sainte Vierge. Jusque-là, il n'avait jamais été contesté qu'il y avait deux natures en Notre-Seigneur : la nature di-vine et la nature hu-maine unies en une seule personne. Notre-Dame étant la Mère de l'unique per-sonne de Jésus-Christ, a le droit d'être appelée Mère de Dieu, car Jésus-Christ n'est réellement Jésus-Christ qu'autant que Sa Divinité est unie à Son Humanité. En 1931, Pie XI institua la Fête que nous célébrons aujourd'hui et l’établit pour l’Église universelle au 11 Octobre. La Maternité Divine de Marie L'élève au-dessus de toutes les créa-tures. L'Église honore en ce jour cet incomparable privilège accordé à Ma-rie, dogme fondamental de notre sainte religion. Grande est la dignité de la mère ! Mais combien plus digne de vénération est celle de la Mère du Fils de Dieu qui a engendré dans le temps Celui qui est engendré du Père de toute éternité ! "Il y a dans cette maternité, dit Saint Thomas, une dignité en quelque sorte infinie, puisqu'Elle a pour Fils Celui que les anges adorent comme leur Dieu et leur Seigneur.

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LA MATERNITÉ DIVINE DE MARIE

Horaires habituels des offices aux Antilles - Guyane

Guadeloupe - 06.90.12.80.93

Chapelle Notre-Dame de Guadeloupe - 5, quai Lardenoy - 97110 Pointe-à-Pitre

Dimanche : 8h30 (messe chantée) En semaine : vendredi à 18h00 ; samedi à 6h30 ; lundi à 6h30 Exposition du Saint Sacrement : samedi à 7h15 (chapelet) Confessions : vendredi 17h30 ; avant ou après chaque messe Permanence : samedi de 8h30 à 12h00 ; lundi de 8h00 à 12h00 Doctrine chrétienne : vendredi 6, 13 et 20 octobre de 17h00 à 17h30

Martinique - 05.96.70.04.67

Chapelle Notre-Dame de la Délivrande - Jonnès - 97200 Fort-de-France

Dimanche : 7h00 (messe basse) 9h00 (messe chantée) En semaine : 6h30 et 11h00 (+ 18h30 le mardi) Exposition du Saint Sacrement : jeudi à 7h15 (chapelet) Confessions et permanence : du lundi au samedi de 7h30 à 10h30 Doctrine chrétienne : mardi 3,10 et 17 octobre de 17h45 à 18h15 Catéchismes : mercredi 4,11 et 18 octobre de 14h45 à 16h30 Patronage : samedi 21 octobre de 14h30 à 17h30 au prieuré Amis de S. Jean Bosco : barbecue le 14 octobre au Prieuré à partir de 17h45 MCF : dimanche 29 octobre (RDV à midi au prieuré)

POUR AIDER VOTRE PRIEURE A VIVRE

CHEQUE à l’ordre de “FSSPX” (reçu fiscal sur demande vous donnant droit à une réduction d’impôt de 66%. Exemple : un don de 200€ vous donne droit

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Les prêtres vous assurent de leurs prières reconnaissantes et de leur dévouement

sacerdotal et vous informent qu’une messe mensuelle est célébrée aux intentions

des bienfaiteurs et des bénévoles du Prieuré. MERCI pour votre générosité !

Pour joindre les pères : Père Michel FRAMENT: +596 696 07 62 55

Père Nicolas CHALLAN BELVAL: +596 696 77 00 78

Père Tristan HACHARD: +33 6 63 17 54 63

Guyane - 06.96.79.57.88

Prochain passage : du samedi 21 octobre au 2 novembre (se renseigner)