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L’accélération de l’histoire Belcredi - Bled - Lezama - Randall

Tema: Riesgos tecnolgicosaceleraciondelahistoria.50webs.com/aceleracion_de_la_historia.pdf · Carl Sagan Miles de millones, 1998 L’ACCELERATION DE L’HISTOIRE: UN RISQUE TECHNOLOGIQUE?

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L’accélération de

l’histoire

Belcredi - Bled - Lezama - Randall

L’accélération de l’histoire --- Groupe nº8, TPE --- Belcredi, Bled, Lezama, Randall

« Cuando uno comprende los crecimientos exponenciales, tiene en sus manos la clave de muchos de los secretos del universo. Conocer algo de forma meramente cualitativa es conocerlo de manera vaga. Si tenemos conocimiento cuantitativo–captando alguna medida numérica que los distinga de un número infinito de otras posibilidades–estamos comenzando a conocerlo en profundidad, comprendemos algo de su belleza y accedemos a su poder y al conocimiento que proporciona. El miedo a la cuantificación supone limitarse, renunciar a una de las perspectivas más firmes para entender y cambiar el mundo. »

Carl Sagan Miles de millones, 1998

L’ACCELERATION DE L’HISTOIRE: UN RISQUE TECHNOLOGIQUE? 3

I. L’ACCELERATION DE L’HISTOIRE 4 II. HYPOTHESES DES CAUSES DE L’ACCELERATION DE L’HISTOIRE 5 III. TRAITEMENTS DE L’INFORMATION 7 IV. ETUDE COMPARATIF DE LA “LOI D’ADAMS” 7 V. CREATION DE L’EQUATION BERNAY 9 VI. « LA COURBE DES COURBES » 14 VII. ANNEXE 16 VIII. CONCLUSION 22

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L’accélération de l’histoire

L’accélération de l’histoire --- Groupe nº8, TPE --- Belcredi, Bled, Lezama, Randall

L’accélération de l’histoire: un risque technologique? Lycée Français « Jules Supervielle » :T.P.E, groupe nº 8 Gonzalo Belcredi, Phillippe Bled, Arturo Lezama, Martín Randall Tema: Riesgos tecnológicos Sub-tema: Aceleración de la historia Problemática progresiva: -¿Qué es la aceleración de la historia?

-¿Qué es la Ley de Adams? ¿Qué es lo que predice? -¿En qué punto es la aceleración de la historia un riesgo tecnológico? -Ejemplos.

Base bibliográfica:

• Grompone, Juan: “La danza de Shiva”, Livro V: “La construcción del futuro”. Montevideo: La flor del Itapebí: 2001.*1

• Artículo de la Revista “Galileo”: “La aceleración de la historia”, del Prof. Juan Grompone. El artículo aparece en el libro Marx hoy, Encuentro sobre vigencia y renovación del Marxismo, Cabildo de Montevideo: 1996.*2

•Relación ciencia-tecnología-sociedad.*1: Figura 26 página 219: Relación dialéctica entre tecnología, ciencia y sociedad. •Ley de Adams. *1 pág. 191,*2 pág. 31. Profundización*3: •Relación ciencia-tecnología-sociedad: ¿Cómo puede ser ejercido el control por parte de la sociedad cuando ciencia/tecnología = 1?, ¿Es un control total o parcial?, Si es parcial, ¿cuáles pueden ser las consecuencias en un sistema tecnológicamente acelerado? •Ley de Adams como ejemplo de la aceleración de la historia: La ecuación de Adams se muestra poco aplicable en un tiempo anterior al siglo XVII. Parece ser que los parámetros funcionan a partir del capitalismo preindustrial porque es cuando comienza la aceleración histórica. ¿A qué corresponden los parámetros?, ¿pueden ser modificados los parámetros de la ecuación para estudiar la diferencia ciencia-tecnología en otros tiempos? •Encontrar la aplicación de la ley de Adams en diferentes ciencias, (Astronomía- Biología-Física-Informática-Genética) en base a los descubrimientos más importantes del siglo XX y lo que va del XXI, su aplicación y la diferencia entre ambos. Limitación investigativa: Escaso material bibliográfico sobre la ley de Adams. Aparece en varios trabajos del Ing. Juan Grompone, los analizaremos para tratar de responder a nuestras problemáticas. Sería interesante la comunicación con el autor de nuestras bases bibliográficas... Grands axes:

I. L’accélération de l’histoire II. Etude d’exemples associés à ce phénomène

III. Ressemblance des courbes de la démographie, énergie, #inventions, #affaires scientifiques (#laboratoires). Est-ce que la courbe des courbes résultante de la moyenne de celles-ci coïncide avec la courbe de l’équation d’Adams? Si oui, on peut associer les paramètres aux causes de l’accélération historique, pourra t-on « corriger » la courbe d’Adams avant le XVII ème siècle ?

Minimum-0 Maximum-100 dans une même période de temps (1700-2004) Pourquoi ces courbes sont-elles d’accord avec l’accélération. Même si elles sont différentes.

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I. L’accélération de l’histoire

L’accélération de l’histoire est un phénomène qu’on peut constater tout au long de l’évolution de l’humanité que l’on peut observer dans tous les aspects, dans les sciences, la société, l’économie, etc.

C’est un fait que le développement des sciences et de la technologie est chaque fois plus rapide, actuellement ce phénomène on peut le voir jour à jour. On est en contact direct avec les avances technologique, et on est dépendants directement de ces changements. Simultanément, ces avances technologiques sont invariablement le produit des découvertes scientifiques, celles-ci étant à la fois directement des réponses aux demandes de la société. La société exerce pression auxquelles les sciences essayent de répondre, ceci finit sous forme de découvertes scientifiques qui influencent la technologie qui met ces découvertes à disposition de la société. Donc, l’accélération de l’un fera que les autres soient chaque fois plus accélérés, il se crée donc un cercle vicieux. On le représente dans le schéma1ci contre: Science (découverte)

Société (consommateur)

Pression sociale et contrôle

Technologie (application)

Nous allons donc essayer d’expliquer ce phénomène de chaîne, de causes et conséquences en utilisant les mathématiques.

En 1958, Henry Adams, a formulé une hypothèse qui met sous forme d’équation une courbe qui illustre ce phénomène, sous le nom de la Loi de Adams :

A.e-t/T - B 2

1 Figura 26 página 219: Relación dialéctica entre tecnología, ciencia y sociedad. Grompone, Juan: “La danza de Shiva”, Libro V: “La construcción del futuro”. Montevideo: La flor del Itapebí: 2001. 2 Apéndice página 532: La ecuación de Adams. Grompone, Juan: “La danza de Shiva”, Libro V: “La construcción del futuro”. Montevideo: La flor del Itapebí: 2001.

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II. Hypothèses des causes de l’accélération de l’histoire: Des causes évidentes:

a. La population mondiale

C’est une évidence le fait qu’une population nombreuse veut dire un plus grand nombre d’étudiants, d’écoles, de laboratoires, de scientifiques et d’inventeurs. Ceci se traduit par une plus grande facilité de découverte, on pourrait dire : quinze têtes découvrent mieux, plus et plus vite qu’une.

b. La prise de conscience de l’apport de l’éducation

Chaque fois plus les gouvernements pensent que l’éducation est synonyme de

progrès, et que sans progrès le pays ne pourra faire face aux concurrences du futur. Cela ce traduit par l’allongement des études, par un investissement plus important dans le savoir. Cet enchaînement provoque une plus grande passion à la recherche, c’est une approche à la découverte.

c. Une société communiquée

La révolution des communications est une “cause conséquence” de la

mondialisation. Des progrès technologiques tels que l’informatique et l’Internet ont révolutionné la conception de l’information. L’Internet par exemple est la plus grande bibliothèque du monde et elle est chaque fois plus accessible. Cette révolution raccourcit le temps de la recherche, de la découverte et de l’application.

L’invention de l’imprimerie est une des inventions fondamentales d’accélération de l’histoire par ces effets multiples dans la société et le savoir.

d. Le système capitaliste Le système capitaliste a pour bases (une d’entre elles) la concurrence. C’est à dire

que les entreprises se livrent à une course mondiale en visant à inventer, développer et améliorer des produits qui puissent participer dans le marché de consommation. La plupart des inventions sont développées dans des milieux privés, sous un contrôle minimum de l’État, par des scientifiques brillants « achetés » à prix d’or. On voit alors une incroyable croissance de la quantité des produits et des découvertes. Dans d’autres systèmes, ces découvertes sont promulguées par l’État, mais quel que soit le système, elles sont toujours développées et progressent toujours. Le capitalisme arrivant partout et toujours, ce phénomène de concurrence est en croissance exponentielle.

e. La mondialisation Les deux causes antérieures mettent en évidence une troisième : en étant la société

destinée à la concurrence et en étant cette concurrence immédiate et mondiale à cause des avances des communications, les inventions et produits fabriqués arrivent partout presque à l’instant même d’avoir été créées. C’est donc le premier produit fabriqué de son « espèce » qui est celui qui gagne le marché. C’est à dire qu’une découverte au Japon peut altérer le monde scientifique du Tchad. Cette découverte peut alors aider

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quelqu’un en Malaisie, complémenter son travail, on assiste alors à un développement de la vitesse des découvertes scientifiques, inventions, etc. C’est la globalisation.

Des causes historiques:

a) Le mythe scientiste

Dans le XIX ème siècle une grande partie de la société commence à croire que la science pouvait être capable de résoudre les problèmes de l’humanité tels que la famine, les maladies et même la mort. C’est le siècle de la création des premiers laboratoires, des premières revues scientifiques.

b) Les révolutions résultantes de la Révolution Industrielle

On a déjà parlé de la révolution des communications, mais il y a aussi des

nombreuses révolutions issues de la R.I. On peut parler des révolutions énergétiques : tels que le charbon, l’électricité, le pétrole, l’énergie atomique et d’autres renouvelables. On ne peut pas imaginer la machine à vapeur sans la découverte du charbon comme source d’énergie, ni l’informatique sans l’électricité. On peut aussi parler de la révolution du transport, cause conséquence de la mondialisation.

c) La Guerre

La guerre est un moment de fenêtre technologique. La guerre moderne et totale oblige les pays en conflit à moderniser l’armement. C’est la course aux armements, une guerre est définie par la technologie utilisée. C’est le cas de la bombe atomique, c’est grâce aux importants investissements réalisés par les armées puissantes de la Seconde Guerre Mondiale que toute la technologie atomique est de nos jours une réalité. Malheureusement on doit passer par la destruction pour arriver à une technologie qui sert à l’humanité. Des nombreuses inventions sont donc subies par les guerres : le radar, la pénicilline, énergie nucléaire, vision nocturne, masques d’oxygène…

D’autres causes associées:

a. L’imaginaire collectif

Une des causes de l’accélération de l’histoire est l’imaginaire collectif, c’est lorsque des inventeurs basent ses projets dans l’imagination de l’humanité. Cette imagination est issue des pensées de quelques auteurs de science-fiction. À l’époque ces idées étaient plus absurdes. Mais ces idées ont fascinées les inventeurs, qui dès cette fascination, ces inventeurs essayent de trouver une réponse. Jules Verne et Isaac Asimov sont les deux les plus reconnues dans ce domaine. Aurait l’homme arrivé à la lune si Jules Verne n’avais pas écrit « De la Terre à la Lune » ? Même questions avec les sous-marins, et de même avec Asimov qui est en réalité plus contemporain, peut on prévoir des inventions grâce à ses travaux, auront nous dans un futur prochain des robots d’intelligence artificielle ?

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III. Traitements de l’information Logiciel Curvexpert 1.3

Il s’agit d’un tableur qui permet de chercher une équation avec une série de valeurs. Il présente diverses familles d’équations, et on peut chercher l’équation qui correspond avec moindre marge d’erreur aux valeurs présentées. Il affiche ces résultats en ordre de corrélation: on appelle le rang de régression1. On peut analyser la courbe obtenue, pour étudier les valeurs des paramètres2, la corrélation des coefficients3, et pour trouver les valeurs de f(x) connaissant x(4), ou aussi de trouver x connaissant f(x). 1

3

2 4

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IV. Etude comparatif de la “loi d’Adams” :

Grâce au logiciel CurveExpert 3.1 on a construit la courbe représentative de l’équation y = A.e -t/T – B avec les paramètres T=125, A=157 et B=9.3 Il s’agit donc d’une fonction exponentielle décroissante, y=0 est l’asymptote horizontale lorsque x tend vers l’infini. Cette fonction tend vers zéro notamment sur la seconde moitié du XX ème siècle.

S = 0.35323257r = 0.99998809

Années

Ané

es d

e sé

para

tion

1603.5 1676.5 1749.5 1822.5 1895.5 1968.5 2041.50.50

45.25

90.00

134.75

179.50

224.25

269.00

On ne connaît pas les paramètres qui déterminent l’équation, et donc on a

essayé de les trouver. On comparera des paramètres qui pourraient être les causes de l’accélération de l’histoire et on comparera aussi l’évolution de ces paramètres au cours de l’histoire… 3 Apéndice página 532: La ecuación de Adams. Grompone, Juan: “La danza de Shiva”, Libro V: “La construcción del futuro”. Montevideo: La flor del Itapebí: 2001.

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V. Création de l’équation Bernay

1790.0 1810.0 1830.0 1850.0 1870.0 1890.0 1910.04.00

94.33

184.67

275.00

365.33

455.67

546.00

Ordinateurs personnels dans le monde depuis 1993 (en milliers).

1993.5 1996.5 1999.5 2002.5 2005.5 2008.5 2011.517.00

2016.08

4015.17

6014.25

8013.33

10012.42

12011.50

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Croissance de la population urbaine en Berlin le long du XXème siècle en milliers d’habitants.

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1615.0 1685.0 1755.0 1825.0 1895.0 1965.0 2035.052.00

1134.67

2217.33

3300.00

4382.67

5465.33

6548.00

Evolution de la population mondiale depuis 1615, en millions de personnes.

1240.70

1859.4 1868.6 1877.8 1887.0 1896.2 1905.4 1914.676.70

270.70

464.70

658.70

852.70

1046.70

Production mondiale de charbon en millions de tonnes.

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Anées

Mill

ions

de

tonn

es

1777.7 1802.3 1826.9 1851.5 1876.1 1900.7 1925.30.60

53.57

106.53

159.50

212.47

265.43

318.40

Production mondiale de houille en Grande Bretagne entre 1777 et 1925.

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Pour mieux visualiser les ressemblances on a mis sur une équation commune ces paramètres. On fera un nouveau graphique qui sera la moyenne des courbes suivantes4 :

Function modelCorrelation

coeff Equation y1= Ordin. Person. ds le mon. Vapor pressure 1 y=exp(a+b/x+cln(x))

y2= Croiss. Urb. en Berlin Vapor pressure 0,998 y=exp(a+b/x+cln(x))y3= Evol. Pop. Mond. Harris Model 0,998 y=1/(a+bx^c)

y4= Produc. Dér. du pétr. Vapor pressure 0,999 y=exp(a+b/x+cln(x))y5= Adams Vapor pressure 0,999 y=exp(a+b/x+cln(x))

y6= Charbon Vapor pressure 0,999 y=exp(a+b/x+cln(x))

Pour faire ça, comme les paramètres ne se correspondaient pas en fonction du temps (les intervalles différaient), on a décidé de passer les unités de x en pourcentages. Chaque année est maintenant un pourcentage :

Années 0% 10% 20% 30% 40% 50%15,000 1995,0 1996,5 1998,0 1999,5 2001,0 2002,5

100,000 1800,0 1810,0 1820,0 1830,0 1840,0 1850,0350,000 1650,0 1685,0 1720,0 1755,0 1790,0 1825,0123,000 1790,0 1802,3 1814,6 1826,9 1839,2 1851,5375,000 1640 1677,5 1715 1752,5 1790 1827,546,0000 1864,0000 1868,6000 1873,2000 1877,8000 1882,4000 1887,0000

60,00% 70,00% 80,00% 90,00% 100,00%2004,00 2005,50 2007,00 2008,50 2010,001860,00 1870,00 1880,00 1890,00 1900,001860,00 1895,00 1930,00 1965,00 2000,001863,80 1876,10 1888,40 1900,70 1913,001865,00 1902,50 1940,00 1977,50 2015,001891,60 1896,20 1900,80 1905,40 1910,00

Après on a trouvé des nouvelles valeurs de y car les années sont maintenant en

pourcentages. Avec des unités en commun on peut maintenant réaliser la moyenne4 :

x y15 y2 y3 y4 y6 Moyenne6 y5

0% 170,0000 40,0000 520,0000 1,8437 181,57 182,68 242,657010% 257,7180 50,7993 581,9120 4,2255 215,20 221,97 180,125020% 390,7920 58,0575 652,9470 8,9657 255,90 273,33 131,254030% 592,5990 68,4772 741,7610 17,6474 305,27 345,15 94,0619 40% 898,6470 83,2953 856,0090 32,2857 365,34 447,12 66,4066 50% 1362,7900 104,4210 1008,4800 55,0036 438,60 593,86 46,2554 60% 2066,7300 134,8820 1222,2500 87,4213 528,33 807,92 31,8319 70% 3134,3600 179,1680 1543,6800 129,8550 638,14 1125,04 21,6695 80% 4753,6500 244,9150 2081,5700 180,5780 773,28 1606,80 14,6087 90% 7209,7000 344,1570 3165,8700 235,4840 939,87 2379,02 9,7632 100% 10935,0000 496,8510 6489,3300 288,4000 1145,80 3871,08 6,4743

4 Comme on le voit dans la section VI, « une courbe des courbes » est raisonnable. 5 Note : y1, y2, y3, y4 et y6 sont en unités arbitraires 6 Appellons Bernay cette moyenne

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Au dessus en voie dans le graphique la construction de Barney, on observe des possibles causes d’accélération.

0,0000

2000,0000

4000,0000

6000,0000

8000,0000

10000,0000

12000,0000

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

y1y2y3y4Barney

Faisons un graphique en comparant la courbe de Barney (potentielles causes de l’accélération de l’histoire) avec la courbe de la « loi d’Adams » :

0,00500,00

1000,001500,002000,002500,003000,003500,004000,004500,00

0% 10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

0,0000

50,0000

100,0000

150,0000

200,0000

250,0000

300,0000

BarneyAdams

On rencontre une symétrie “relative” entre ces deux tracés. Il s’agit d’une

symétrie axiale, un axe orthogonal à l’axe des abscisses passant par le point d’intersection de ces deux courbes. Avec l’explication de la symétrie, on fait un graphique dans le même sens pour mieux comparer les courbes, on trouve :

0 ,0 05 0 0 ,0 0

1 0 0 0 ,0 01 5 0 0 ,0 02 0 0 0 ,0 02 5 0 0 ,0 03 0 0 0 ,0 03 5 0 0 ,0 04 0 0 0 ,0 04 5 0 0 ,0 0

0% 10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

A d a m sM o y e n n e.

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La construction d’une courbe, la courbe des courbes Nous nous avons intéressé aux paramètres de Adams, mais ces paramètres

n’avaient que des fondements mathématiques, et elle n’a pas une interaction avec le contexte réel. Nous avons pensé à construire une équation qui tiendrait en compte le contexte économique, éducatif, démographique et technologique puisque ces contextes sont des causes de l’accélération de l’histoire. Par la manque de temps on a fait une équation appelée Bernay qui tiendrait en compte 3 domaines : démographie (croissance urbaine en Berlin, Evolution de la population mondiale), énergie (production de houille, production de charbon), technologie (ordinateurs personnels dans le monde). On a put construire Bernay par une méthode mathématique que nous nommons “la courbe des courbes”4.

C’est en faite une équation qui a comme image la moyenne d’autres. Nous avons donc appliquée cette méthode pour trouver Bernay, on a rempli les

valeurs obtenues dans le grapheur CurveExpert pour en sortir une équation, nous obtenons l’équation du type Modèle Logistique suivante :

y = A 1-B.e (C.x)

Avec 0<x<100

Paramètres :

A=-2917,3856

B=19,17033

C=-0.023918548

4 Comme on le voit dans la section VI, « une courbe des courbes » est raisonnable.

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VI. « La courbe des courbes »

C’est une expression que nous avons inventée pour illustrer l’idée suivante :

f(x)= (f1(x1)+f2(x2)+f3(x3)+…+fn(xn) n

C’est en faite une équation qui a comme image la moyenne d’autres. Pour

démontrer qu’il peut être raisonnable on a fait des différentes “courbe des courbes” d’équations de différents types :

affines

0

20

40

60

80

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

y1=2xy2=5x+23y3=(2/3)x+3,5Moyenne

Exponnentielles

0,000100,000200,000300,000400,000500,000600,000700,000800,000

1 3 5 7 9 11 13 15 17 19

y1=4.45exp(2x)y2=1.1233exp(2x)y3=3*exp(2,75x)y4=2,75*exp(2.33x)Moyenne

Polynomyales

-100

102030405060708090

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

2x^3+3x+258x^2+9x+15x^3+4x^2+13x-5Moyenne

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VII. Annexe P résentation orale et audiovisuelle

Civilis

ation

egyp

tienn

eCivi

lisati

ongre

cque

-romain

e

Systèm

e capita

liste

?

“Ada

ms”

Temps

Moyen Âge

Avant 2005

A

2060: Trois sc2060: Trois scéénarios possiblesnarios possibles

2070 AdamsBernay

B

Cas historique

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Cycle d’inventions – innovations de 1857 à 1910

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Document central La aceleración de la historia

Juan A. Grompone. El siguiente es el texto de la intervención del Ing. Juan A. Grompone en la inauguración del Encuentro sobre "Vigencia y Renovación del marxismo", que tuvo lugar el 15 de noviembre

de 1996 en el Cabildo de Montevideo. El Encuentro prosiguió al día siguiente en 4 talleres de debate en la Facultad de Ciencias Sociales.

“Ante todo quiero agradecer la enorme responsabilidad que se me ha dado de introducir el coloquio que se va a realizar acerca de la renovación del marxismo. Siento que la responsabilidad es muy grande y pienso que se me otorgó por haber publicado un artículo que se llama "Sobre la aceleración de la historia" en la revista "Galileo". Es un artículo puramente especulativo. A su vez, ha sido comentado en un excelente artículo en "Brecha" por Niko Schvarz, que salió la semana pasada. El tema fue la aceleración de la historia. De esto estamos hablando: de un artículo que está escrito e impreso. Por supuesto, no tiene ningún sentido repetir lo que dice el artículo, repetir lo que ha dicho en forma excelente Niko para Brecha, sino que voy a hacer una especie de resumen para los que no han podido acceder a él, agregarle algunos comentarios y dejar un pequeño espacio al final para algunas preguntas que tienen que ser no de tipo polémico sino de tipo aclaratorio, es decir, alguna cosa que haya quedado realmente en el tintero; porque la polémica, el debate, es lo que sigue mañana. Entonces, para entrar en el tema, el motivo de este artículo sobre la aceleración de la historia fue tomar una ley o una seudoley que se llama ley de Adams, que era simplemente una ley empírica que descubrió un señor Adams del cual no tengo ninguna referencia, excepto la referencia directa a la ley. Lo que se proponía estudiar Adams era la separación en el tiempo entre un nuevo descubrimiento de tipo tecnológico y la aplicación de ese descubrimiento. Naturalmente, encontró lo que todos sabemos: que cada vez demora menos en aplicarse el conocimiento científico y tecnológico, es decir, lo que hace tres siglos demoraba cien años en ser aplicado ahora demora cinco. Y todo esto lo puso en forma de ecuación matemática que resumía cientos de datos experimentales, cientos de casos que había estudiado. Eso se conoció con el nombre de ley de Adams, y fue publicado allá por los años 60. Esa ley de Adams, como toda seudoley o como todo resultado de la especulación matemática, provocaba mucha risa por un elemento muy curioso, y es que dicha ley decía que aproximadamente en algún momento del siglo que viene los descubrimientos se iban a aplicar en forma instantánea, es decir, se venía achicando el tiempo que demoraba entre el descubrimiento y la aplicación tecnológica y entonces, si uno extrapolaba los datos que daba la realidad, en algún momento del siglo próximo no iba a haber distancia en el tiempo, se iban a aplicar instantáneamente los conocimientos generados; y naturalmente, pasado ese límite, iba a ser al revés: los descubrimientos iban a ser aplicados antes de ser realizados, es decir se iba a dar el disparate. De modo que por eso, siempre fue considerada una ley disparatada, un resultado matemático cualquiera y punto. Si embargo, a mí me resultó agradable esta idea de que algo iba a pasar en el siglo que viene porque hace como veinte años que estoy preocupado de dar una simple respuesta, que es cuándo termina el capitalismo. Este tema lo voy a tener que mencionar más de una vez, de modo que permítaseme por ahora dejarlo nada más que como una simple inquietud. Hace más de veinte años, cuando escribí un folleto que se llamaba "Las leyes de El Capital", una de las preguntas que surgía era: todo esto ¿hasta cuándo sigue? Pero hace veinte años no tenía una respuesta. Cuando yo leí sobre la ley de Adams se me ocurrió que esto podía tener algo que ver y retomar la vieja especulación. Es decir, que volvamos a especular sobre este viejo tema del fin del capitalismo. De allí salió algo que, en broma, podríamos llamar "Ley de Grompone", que es una especie de Ley de aceleración de la historia que está en el artículo y que es bien de ciencia ficción, como dice Niko Schvarz, porque la historia humana, en definitiva, uno la puede remontar a los dinosaurios. Es decir, la caída de los dinosaurios provoca el ascenso de los mamíferos, que a su vez provoca todo este lío que termina en la aventura humana, en definitiva, y sin embargo todo eso parece enganchar bastante bien en una super ley de Adams. El hombre, si uno lo piensa como animal, como animal en evolución en el sentido darwiniano, es un animal muy curioso, porque la evolución como especie en determinado momento se prolonga por algo externo al hombre. El hombre evoluciona como ser biológico hasta que en determinado momento, hace cuatro o cinco millones de años, no pudo continuar en esa evolución en forma puramente biológica y tuvo

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que continuarla con objetos externos, lo que nosotros llamamos herramientas. El único ser viviente que tiene la característica de que su evolución biológica está vinculada a objetos materiales que lo rodean, al mundo material que lo rodea, es el hombre, y eso empezó lentamente, en algún momento, hace tres, cuatro, cinco millones de años, en Africa, según el estado actual de nuestros conocimientos. Esta es la versión que podemos dar de aquel noble intento que se llamaba "El papel del trabajo en la transformación del mono en hombre" de Engels, un noble intento del siglo pasado por conciliar de progreso, la idea de la historia material del hombre con la nueva idea de evolución que acababa de surgir en aquel momento. Hoy podemos refinar bastante más esta idea que Engels ya enunció y que ya de alguna manera puso en borrador en ese trabajo. De modo que el estudiar el problema de las herramienta y la tecnología es de alguna forma el problema central de la especie . Es un problema esencial, no es problema lateral. Las herramientas no son otra cosa más que tiene el hombre: las herramientas son el hombre; el hombre sin herramientas regresaría a algún punto hace dos o tres millones de años. La historia del hombre y la historia de las herramientas son algo absolutamente ligado. Volvamos a la predicción, para ver, qué sucede con estas ecuaciones matemáticas que nos dicen: algo pasa con la tecnología del siglo que viene. Supongamos que les creemos, porque las fuentes de la especulación científica salen a aceptar una determinada idea por loca que parezca y prolongarla, continuarla para ver sus consecuencias. Entonces, aceptemos esa idea: algo pasa en el siglo que viene. Una de las primeras cosas que predice alguna de estas ecuaciones es que la población crece desorbitadamente en el planeta, pero esto, precisamente, es uno de los síntomas que nosotros vemos. Una de las tantas cosas que se anuncian en estos tiempos es que el crecimiento exorbitante de la población humana genera un problema para la especie humana. En segundo lugar, vemos que hay crisis en la producción de tecnología. Evidentemente, si uno examina cada una de las ramas de la tecnología, hay algunas que son extraordinariamente prósperas, como el caso de la microelectrónica. Esta es una rama que crece incesantemente, estamos embarcados en medio de la revolución de la microelectrónica, que se basa en hacer más chicos los elementos electrónicos. Pero hay un límite físico para eso. De modo que esta revolución que va a toda velocidad se tiene que estrellar, en un tiempo que nadie puede predecir pero que no pueden ser muchas décadas, contra los límites físicos de la materia. No se van a poder hacer elementos electrónicos más chicos que los que permita la mecánica cuántica; que lo que permita la estructura de la materia. De manera que nuestra más revolucionaria tecnología, que es la microelectrónica, se va a estrellar en algún momento en el futuro cercano. Estamos llegando a los límites de los instrumentos científicos. Por ejemplo, el instrumento de exploración de la materia, que es el acelerador de partículas, ya tiene dimensiones geográficas. Un acelerador de partículas hoy es un aparato científico que tiene 50 kilómetros de diámetro. En el acelerador de partículas en Europa, en Suiza, las partículas que se aceleran dan la vuelta por Francia, y vuelven a entrar en Suiza, es decir, recorren la frontera y salen dos veces de la Comunidad Europea cada vez que dan una vuelta por el acelerador. El siguiente, prácticamente ya no se puede hacer, porque vamos tal vez a estar en varios cientos de kilómetros y ni siquiera la estabilidad de la corteza terrestre va a permitir la alineación de este instrumento. De modo que es dudoso que se pueda construir un acelerador de partículas más grande. Yo no digo que es imposible, porque a veces surgen ideas revolucionarias que permiten vencer estas dificultades, pero es por lo menos dudoso. Ya Ferni, por ejemplo había anticipado, hace como veinte años, que tal vez la única solución para los aceleradores de particulas era acelerar las partículas alrededor de la Tierra, es decir ponerlas en el ecuador terrestre, hacer un gigantesco acelerador en órbita. Pero eso, definitivamente, será el último acelerador, porque una vez que hagamos ese superacelerador que proponía Ferni no tendremos otra posibilidad. De modo que estamos llegando a los límites de los instrumentos científicos. Ya no podemos construir más telescopios, por ejemplo. Los telescopios que se construyan hay que ponerlos en órbita, porque ya no tiene más sentido construir un telescopio terrestre ya que no aumentaría la resolución debido a los problemas atmosféricos. Veamos el agotamiento de los recursos naturales. Ese tema y la contaminación del planeta son tema de todos los días, que están anunciando algo. Todos estos acontecimientos de alguna manera son pequeñas advertencias: miren que pasa algo, no puede seguir así el crecimiento de la población, no pueden seguir así aumentando los instrumentos científicos, no puede seguir aumentando así el despojo de la naturaleza, no se puede seguir contaminando de esta manera. De modo que, en forma cualitativa, uno también tiene evidencias de que algo va a pasar y próximo. Por supuesto, la idea de catástrofe es una idea tan vieja como la de progreso. Uno de los libros de la Biblia es el Apocalipsis, precisamente anuncia la catástrofe, la catástrofe de la humanidad. Naturalmente que las utopías renacentistas también anunciaban catástrofes. Malthus anunció una de las más célebres catástrofes de la humanidad. Todas estas catástrofes tienen un par de características comunes: primero,

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que no ocurren, ninguna de esas catástrofes anunciadas sucedió. De modo que predecir catástrofes es muy fácil porque uno tiene la garantía de que nunca pasan, por lo menos no han sucedido en el pasado. La otra característica es que la catástrofe que uno anuncia es siempre la catástrofe del mundo en que vive. La catástrofe que anuncia el Apolipsis es el fin del Imperio Romano; la catástrofe de Malthus es el fin del feudalismo europeo, y la catástrofe que vemos ahora, la catástrofe del mundo posguerra nuclear, el mundo totalmente expoliado, árido, es el fin del mundo en que vivimos, es el anuncio no del fin de la humanidad, como nunca fueron estas catástrofes, es el anuncio del fin del mundo en que vivimos. En otras palabras, he adquirido la más absoluta convicción de que esta catástrofe lo que está anunciando es una catástrofe muy conocida por todos nosotros, es la catástrofe del fin del capitalismo. Es decir, el capitalismo se termina, señores. Esto es lo que está pasando. Entonces, nuevamente adopta la forma de catástrofe histórica del fin del mundo. Pero naturalmente, la catástrofe del fin del capitalismo es algo muy viejo, está en el "Manifiesto Comunista". Una de las tareas que nos ayudó a sobrevivir, supongo, en los tiempos de la dictadura, era repasar periódicamente el "Manifiesto Comunista" porque nos mostraba con una total claridad buena parte de lo que estaba pasando. El releerlo nuevamente nos muestra que está describiendo cosas que parece que pasaran hoy. La sociedad global que describe el "Manifiesto Comunista" es escalofriantemente precisa, la describe con una precisión realmente escalofriante. De modo que, en definitiva, la catástrofe que está anunciando la ley de Adams, mi ecuacioncita, la contaminación, el tamaño de los instrumentos, yo diría que de alguna manera da respuesta a la pregunta central del siglo XIX: está anunciando el fin concreto del capitalismo. Pero el fin concreto del capitalismo, ¿qué quiere decir? En primer lugar, hay reacciones al fin del capitalismo, el fin del capitalismo está anunciado por la globalización del planeta. La globalización del planeta es, de alguna manera, la razón de ser del capitalismo. Si recordamos nuevamente los textos marxistas clásicos, éstos hablan que la sociedad capitalista es la más revolucionaria de la historia hasta el presente, es la encargada de transformar toda la faz del planeta, es la encargada de hacer una sociedad global única, un único mercado, una única industria, una única cultura. Eso es lo que está pasando, se está cumpliendo eso que fue de alguna manera anunciado en los escritos teóricos del siglo XIX. Y naturalmente ahora vemos incluso la reacción a eso, los fundamentalismos y los nacionalismos, son precisamente reacciones frente a globalización que está ocurriendo y por eso, para detener el avance de la cultura global es que se les pone más velo a las mujeres en los países donde no lo usaban, se balcanizan los Balcanes, se regresa a hablar el mallorquín, que es una lengua que hablan muy pocas personas. Todo eso es la resistencia a esa cultura y a esa globalización que estamos viendo. Entonces, vayamos al fondo. ¿cuándo termina todo esto? Naturalmente, para intentar responder a la pregunta hay que hacer algún modelo. En ese artículo yo construyo un pequeño modelo matemático extraordinariamente simple que no lo voy a repetir pero se basa en esta idea: con cifras que tenemos y que son muy consistentes y muy creíbles, la economía capitalista crece a un ritmo del 3% anual. Esta cifra se sostiene desde los últimos cuatro siglos; aproximadamente lo he podido rastrear en los últimos cuatro siglos: consistentemente el ritmo global de crecimiento de la economía capitalista es el 3% anual. Pero el crecimiento de la población del planeta es del 1,6% anual. De modo que ahí está la diferencia. Es decir, si la producción de heladeras, de ropa, de alimentos, crece el 3% anual, y la población crece sólo el 1,6%, entonces tarde o temprano la producción capitalista va a llegar a todo el planeta. Eso es lo que está pasando. Las cifras de hoy y de siempre cantan ese resultado. Y es un problema de juego matemático, el construir un modelo más o menos perfeccionado, el cuándo una curva alcanza a la otra. Eso también está dicho en el artículo. Increíblemente vuelve a dar la misma cifra: aproximadamente alrededor del 2060. Es decir, todas las ecuaciones convergen en que alrededor del 2060 se terminan los recursos naturales, la población se estabiliza, el planeta es global, se debe detener casi seguramente el desarrollo de los instrumentos científicos y la sociedad capitalista domina. Pero en el momento en que la sociedad capitalista domina -apelando nuevamente a los viejos textos marxistas-, la sociedad capitalista se convierte en un impedimento para el progreso humano. Ese es el punto, es el punto que estamos esperando los socialistas de siempre, el punto en que la historia determine que la sociedad capitalista se ha convertido en el obstáculo para el desarrollo humano. Eso pasará relativamente pronto, según estos cálculos que están acá, que habrá que afinarlos y esperar, pasará dentro de unos 70 años. Es decir, le quedan unos 70 años de vida a esta sociedad para el momento en que se globalice totalmente. Por supuesto, eso quiere decir que yo no lo voy a ver y creo que nadie de los están aquí lo va

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a ver, pero siempre corremos detrás de una utopía. Yo creo que esto no es nuevo para el pensamiento socialista. La única diferencia es que ahora tal vez podamos entrar a especular cuándo va a pasar. Quiero concluir con esta presentación reafirmando dos o tres puntos. En primer lugar, reafirmar el carácter científico del pensamiento marxista. Esto es una fase que hemos repetido siempre, pero yo creo que hay que convertirla en algo concreto, real, más allá de la retórica. Yo creo que reafirmar el carácter científico del pensamiento marxista consiste, entre otras cosas, en intentar hacer especulaciones cuantitativas. Llegó el momento de los análisis cuantitativos. No puede ser que el pensamiento socialista, marxista, siga siendo siempre cualitativo. Ha llegado el momento de ponerle fórmulas a la cosa. Y por supuesto, pasarán muchos años antes de que esas fórmulas sirvan para algo, pero hay que poner fórmulas. Yo reivindico ese carácter. Y entonces, aquella idea utópica que me planteé de pasar en limpio las ecuaciones de "El Capital", creo que 25 años después no sólo no estoy arrepentido, sino que prometo mucho más. Voy a seguir escribiendo muchas más ecuaciones porque soy un convencido del carácter científico del pensamiento marxista y para mí eso quiere decir que tarde o temprano tiene que convertirse en afirmaciones de tipo cuantitativo, verificables por la realidad. En segundo lugar, lo que no entiendo es la desesperanza, esa desesperanza que existe entre los pensamientos de izquierda. A mí me parece absolutamente incomprensible. Yo creo que ahora podemos decir: señores, les queda muy poco. Los veo tan contentos a los liberales cada vez que dicen: el marxismo no existe más, el socialismo ya no existe, es una cuestión del pasado, solo los extraterrestres de los uruguayos creen en estas cosas. Pues bien, señores, creo que están totalmente equivocados, creo que precisamente, si algo muestra -es un tema de especulación, paradójico- el fin del socialismo real, es que le queda muy poco al capitalismo. Pero eso tal vez es tema de discusión de alguno de los coloquios de mañana. De modo que no hay lugar para la desesperanza. Por el contrario, creo que hay que reestudiar todo esto, buscando todo lo que hay de bueno en ese pensamiento. Finalmente, creo que la caída del socialismo real, que es el eufemismo que empleamos ahora, es un tema que es necesario estudiar con cuidado, porque es una lección importantísima de la historia. La historia nos está diciendo algo. Es similar a lo que ocurrió con la Comuna de París. La Comuna de París duró 70 días y el socialismo real duró 70 años. Ninguno de los dos funcionaron, podemos decir, pero la Comuna de París sirvió para una gran experiencia histórica, y esto también debe servir para esa gran experiencia histórica, porque tenemos sólo 70 años para hacer la sociedad nueva y vaya menudo trabajo que va a dar.”

Juan A. Grompone

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VIII. Conclusion L’accélération technologique est synonyme du progrès et de l’évolution de

l’humanité. L’évolution technologique est infiniment plus rapide que l’évolution biologique, c’est pourquoi c’est raisonnable d’associer l’accélération technologique avec l’accélération historique, au moins quantitativement.

Cette équation d’Adams, et sa courbe représentative, une exponentielle de coefficient négatif impressionne par le fait qu’on voit le miroir du progrès de l’humanité ou plutôt une des images de ce progrès. On peut voir que dans un moment du futur, il n’y aura plus de progrès ou d’accélération, on ne peut pas passer d’un temps instantané de découverte application, la courbe ne pourrait jamais être négative, c’est incohérent.

Qu’est ce qui va se passer à ce moment précis, on ne peut pas le savoir, mais c’est une idée qu’inquiète, parce que lorsqu’on ne peut plus avancer ou progresser on a une tendance ou une nécessité de changer le chemin, pour pouvoir atteindre « le meilleur des mondes possibles ».8

Nous avons développé un travail de recherche à partir de cette loi d’Adams, on voulait savoir de quoi dépend l’accélération de l’histoire, et lesquels seraient les paramètres, pour mieux analyser le sujet.

Est-ce qu’il existe une équation de ce phénomène ? Non, on ne peut que faire une approche à la réalité puisque la réelle équation de l’accélération de l’histoire comporterait une infinité de paramètres où chacun d’entre nous participe activement. Mais parfois les ombres aident à comprendre des phénomènes aussi complexes, et à prévenir ces conséquences.

Nous avons pensé un risque à propos de cette accélération, à travers le schéma ci-contre9 :

Science (découverte)

Société (consommateur)

Pression sociale et contrôle

Technologie (application)

Lorsque la science et la technologie se confondent, la société perd sa qualité de juge ou de contrôle10, au moins en théorie, une personne ou une collectivité peut découvrir et appliquer instantanément des inventions, beaucoup de fois pour le bien mais lamentablement quelque fois pour le mal. Et puisqu’il est le seul à le connaître on ne peut pas prévenir ces conséquences, puisqu¡on ne connaît pas la science de l’invention. On aurait le schéma suivant :

Technologie (application) Science (découverte)

Société (consommateur et spectateur) 8 Voir Philosophie de l’optimisme de Leibniz. 9 Figura 26 página 219: Relación dialéctica entre tecnología, ciencia y sociedad. Grompone, Juan: “La danza de Shiva”, Libro V: “La construcción del futuro”. Montevideo: La flor del Itapebí: 2001. 10 La société est donc aussi un spectateur.

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